Juste une Trace

ACTUS

DE LA COLÈRE À LA HAINE

SPLIT BRAIN sort «DE LA COLÈRE À LA HAINE», le 27 septembre 2024, premier single et clip extraits de l’album metal «ÉCRASÉS PAR NOTRE HÉRITAGE», disponible fin octobre.

Entre clair-obscur et tension psychologique, SPLIT BRAIN nous plonge dans une descente aux enfers, le passage de la colère à la haine.

“Qu’est-ce qui peut nous faire basculer ? Une promesse non tenue ? Un rêve devenu utopie ?”, interroge Rémi, chanteur de SPLIT BRAIN. “Des riffs acérés, une batterie pesante, un chant plein de colère traduisent cet état d’esprit. Tandis que le pont mélodique et limite dansant semble amener à un soulagement, c’est pour mieux exploser. La haine a-t-elle pris le contrôle ? ”

Le clip, réalisé par Kévin Merriaux (Freehowling, Beyond the Styx, Souffre…), met en lumière les thèmes sombres et profonds abordés dans la chanson, à savoir la transformation émotionnelle et la manière dont chacun peut basculer dans la haine. La mise en scène est brutale et contrastée, en cohérence avec la musique et les paroles. Il présente un personnage principal aux prises avec ses propres démons, un individu qui perd le contrôle.

Trois éléments visuels clés dans le clip :
Le puisard symbolise la descente aux enfers, représentant les émotions sombres et destructrices.
Le miroir reflète les différentes facettes du personnage, jouées par les membres du groupe, et incarne la confrontation avec soi-même. Le personnage mystérieux, représentant les démons intérieurs, observe et interagit discrètement, renforçant la confusion et la perte de contrôle. Enfin, la fin abstraite du clip laisse volontairement une porte ouverte aux interprétations : la haine a-t-elle finalement triomphé ? Ou ce personnage mystérieux incarne-t-il une lutte encore inachevée ? Le spectateur reste face à cette énigme, sans réponse claire, mais avec le sentiment d’avoir assisté à une bataille intérieure universelle.

Kévin Merriaux explique : « L’objectif pour le tournage du clip ‘De la Colère à la Haine’ était d’intégrer à la fois les musiciens et un storytelling puissant, pour mettre en avant chacun des membres du groupe ainsi qu’un personnage fictif, l’avatar. L’esthétique du clip s’apparente à celle d’un film d’horreur, avec une ambiance froide et oppressante pour renforcer l’intensité de la musique. J’ai privilégié les gros plans et un éclairage dur avec des flashs lumineux pour créer un fort contraste visuel, jouant sur le clair-obscur”.

SPLIT BRAIN se démarque par l’utilisation du français dans un registre thrash et death metal, apportant une identité singulière à leurs créations. À travers des compositions à la fois puissantes et mélodieuses, le groupe questionne des thèmes profonds comme l’héritage, la responsabilité individuelle et collective, et l’évolution des émotions.

De la colère à la haine
Bonheur, malheur
Tout va si bien
Douceur et pleurs
Tout est si bien
On a tous cru à sa fin
Certains y ont vu l’espoir
D’autres ont continué leur larcin
Et quelle surprise on va se décevoir
Tout chambouler pour un nouvel ordre
Quelle ironie, quel beau troupeau
Recentrer nos vies pour un temps si court
Quelle ironie, acte manqué
De la colère à la haine
Bonheur, malheur
Tout va si bien
Douceur et pleurs
Tout est si bien
Du plaisir à la torture
Qui traduit toutes nos peines
De la colère à la haine
Qui gangrène cette imposture

Tout chambouler pour un nouvel ordre
Quelle ironie, quel beau troupeau
Recentrer nos vies pour un temps si court
Quelle ironie, acte manqué

Croître / Mensonge
Croire / Pouvoir
Crime / Savoir
Quel bonheur
Croître / Mensonge
Croire / Pouvoir
Crime / Savoir
Quel bonheur
Tout chambouler pour un nouvel ordre
Quelle ironie, quel beau troupeau
Recentrer nos vies pour un temps si court
Quelle ironie, acte manqué
Tout chambouler pour un nouvel ordre
Quelle ironie, quel beau troupeau
Recentrer nos vies pour un temps si court
Quelle ironie, acte manqué
De la colère à la haine

Paroles et Musique de Rémi Pierre, Frédéric Acx, Nicolas Dijoux, Damien Marchant et Nicolas Jeanneteau – Éditions AMOC

Pour en savoir plus sur SPLIT BRAIN

L’album ÉCRASÉS PAR NOTRE HÉRITAGE de SPLIT BRAIN est disponible dans notre boutique

SPLIT BRAIN
Rémi – Voix
Nico – Guitare
Fred – Guitare
Damien – Basse
RagnarAco – Batterie

TRACKLIST : Il paraît qu’on a déjà tout dit – Acteurs de notre déchéance – De la colère à la haine – Écrasés par notre héritage – Reprendre notre souffle – Une fuite en avant – Et alors on s’élèvera… – … Jusqu’à se consumer – Que croiront-ils ?

Enregistré, mixé et masterisé par Arnaud Bascuñana au Studio 180
Photographie par Stéphane Chorain
Design et création graphique par c3po.lette
Production Juste une Trace
Avec le soutien : SCPP
Date de sortie : 25-10-2024

CROWDFUNDING POUR SPACECRAFT

Spacecraft est une création jazz pour quintet du compositeur et contrebassiste britannique Gary Brunton inspirée par le voyage et un vaisseau spatial.

Message de Gary Brunton : « Depuis 2019, je donne naissance à une série de créations jazz inspirées par le voyage et les différents moyens de transport. Après l’autocar Night Bus et Second Trip, après le train Trên Dydd et Gwawr, cette fois-ci, ce sera le vaisseau spatial Spacecraft. Continuons le voyage ensemble.

Pour ma prochaine création, j’ai choisi de former un quintet réunissant des musicien·nes de la nouvelle génération, véritable équipage d’un « Spacecraft » prêt à explorer de nouveaux horizons musicaux. Depuis que le Royaume-Uni a quitté l’UE en 2020, je m’efforce à maintenir des collaborations avec des artistes de mon pays de naissance.

Le projet Spacecraft incarne à la fois la vitesse, l’espace et le savoir-faire. Je compose spécifiquement pour chaque membre du groupe, créant des formes et des motifs rythmiques qui stimulent leur créativité en improvisation. Ce quintet réunit des mélodies charismatiques, une fusion moderne, du groove, du rock, et des improvisations enflammées, portées par les talents exceptionnels d’Emma Rawicz, Léa Ciechelski, Benjamin Garson, et Simon Goubert. Ensemble, nous allons repousser les frontières du jazz et offrir une expérience musicale unique.»

L’argent collecté servira à produire dans de bonnes conditions les enregistrements pour constituer un album, le mettre à disposition en streaming et réaliser une édition CD. MERCI POUR VOTRE PARTICIPATION : en savoir plus sur SPACECRAFT et ce crowdfunding


Photographie Spacecraft (musiciens) par Laurent Thion
Production Juste une Trace
Avec le soutien: SCPP
Sortie: printemps 2025

Musique de Gary Brunton
Éditions AMOC

NOUVEL ALBUM DE SPLIT BRAIN POUR L’AUTOMNE

SPLIT BRAIN présente une fusion innovante de thrash et de death metal. Le groupe se distingue par l’utilisation du français pour ses paroles, ce qui confère à leur musique une dimension lyrique particulière et un ancrage culturel marqué.

L’album “Écrasés par notre Héritage” aborde des thèmes variés et profonds, explorant l’évolution des sentiments à travers des morceaux comme “De la Colère à la Haine” (sortie du single le 27 sept.) , qui traite du basculement d’un état émotionnel à un autre ou “Acteurs de notre Déchéance” qui interroge sur la responsabilité personnelle et la quête de soi, offrant une réflexion sur notre rôle. “Sommes-nous des acteurs de nos vies ou de simples spectateurs de celle des autres”, se demande Rémi, le chanteur et auteur des paroles. L’ironie du premier titre de l’album “Il paraît qu’on a déjà tout dit” donne le ton, pourtant SPLIT BRAIN a vraiment des choses à dire et à faire entendre !
Une fuite en avant” incarne la réaction urgente face à l’adversité, puis “Et alors on s’élèvera…” semble offrir un espoir de transcendance ou de libération, malgré les désillusions. De la douceur pour des propos lourds de sens. La mélancolie des instruments est secondée par le chant presque religieux. “Et alors on s’élèvera” comme un avertissement ou une fatalité ? “Pourquoi ?!!”, la bascule est faite, tout le monde est concerné. L’envolée des guitares comme des sirènes pour nous alerter, mais il est trop tard, comme nous le fait bien ressentir le chant éraillé et désenchanté. Le temps d’un instant, on pense pouvoir reprendre le contrôle, mais les sirènes sont déjà là… “Nous sommes condamnés”… Et nous partons, lentement, poussés par la cloche qui semble nous imposer d’avancer…

Le titre “Jusqu’à se consumer”, marque aussi la fin inéluctable. C’est terminé ! La vie n’est plus, la violence du départ est telle que l’on comprend rapidement que tout a changé. Tout va très vite et il n’y aura pas de retour en arrière. Pourtant dans un moment de lucidité, il est encore possible de faire le bilan. Ce moment de nostalgie tranchant avec la brutalité du moment, semble figé dans le temps avec ces guitares acoustiques, complété par un slam sans filtres ni artifices.
Avec des guitares sèches apaisantes, l’instrumental “Reprendre notre Souffle” offre un moment de pause contemplative, un instant de répis.
Comme son nom l’indique, le titre “Écrasés par notre héritage”, éponyme de l’album, se penche également sur l’influence du passé, en abordant les répercussions de l’histoire sur le présent et les émotions qu’elles suscitent, et termine par une réflexion sur ce qu’on va laisser aux générations futures : “Que croiront-ils ?”.
Ensemble, ces titres forment une réflexion sur la condition humaine, la responsabilité de chacun et la quête de sens. Comme l’explique Rémi : “En tant que père d’une petite fille de 7 ans, je réalise combien nous sommes dépendants de ce que nous avons fait auparavant. Notre héritage est riche mais tellement pesant”.
Enregistré notamment avec des prises live, spontanées et en analogique au Studio 180 avec Arnaud Bascuñana (Damien Saez, Matthieu Chédid, Les Wampas, United Guitars), le groupe s’est concentré sur des détails, des surprises et des arrangements hors du commun. “C’est dans un climat de sérénité que nous avons pu aborder des aspects techniques plus complexes, franchir davantage de limites et faire preuve de plus d’audace. L’enregistrement en analogique, qu’on retrouve souvent dans les productions Juste Une Trace, a été choisi pour conférer au son une texture bien particulière pour du death metal” précise le chanteur.
À travers ce mélange de thrash et de death mélo, l’album “Écrasés par notre Héritage” de SPLIT BRAIN superpose rage et réflexion, mélodies et audace.

Pour en savoir plus sur SPLIT BRAIN

L’album ÉCRASÉS PAR NOTRE HÉRITAGE de SPLIT BRAIN est disponible dans notre boutique

SPLIT BRAIN
Rémi – Voix
Nico – Guitare
Fred – Guitare
Damien – Basse
RagnarAco – Batterie

TRACKLIST : Il paraît qu’on a déjà tout dit – Acteurs de notre déchéance – De la colère à la haine – Écrasés par notre héritage – Reprendre notre souffle – Une fuite en avant – Et alors on s’élèvera… – … Jusqu’à se consumer – Que croiront-ils ?

Enregistré, mixé et masterisé par Arnaud Bascuñana au Studio 180
Photographie par Stéphane Chorain
Design et création graphique par c3po.lette
Production Juste une Trace
Avec le soutien : SCPP
Date de sortie : 25-10-2024

FOCUS SUR LE DIVAN

Comme son nom l’indique, « LE DIVAN » est un titre du groupe de rock français Bagdad Rodeo. Il pourrait être en rotation partout et incorporé dans de nombreuses playlists à compter du 14 juin 2024. Ce titre aux mélodies douces et accrocheuses, propose une réflexion mordante sur les contradictions et les défis de la vie quotidienne. Ça tombe bien !

“Un bonheur mercantile, un loyer, des créances, un semblant de liberté contrôlé par la finance”. À travers ces premières lignes, Bagdad Rodeo critique le matérialisme et l’illusion de liberté dans notre société. Et pour une fois, tout semble vraiment sérieux.

“Travail, patrie, vacances” : un mantra répété à l’envi pour maintenir les gens dans un état d’asservissement consenti, les empêchant de voir au-delà des barrières dressées par le système. Pourtant, même dans les rares moments de loisirs accordés, l’illusion du bonheur en famille n’est qu’un écran de fumée destiné à cacher la vacuité de nos existences. “La formule 1 le dimanche” devient un opium pour les masses, une distraction bienvenue dans un quotidien morne et souvent dénué de sens.

Le refrain pose des questions essentielles : « On est là et qu’est-ce qu’on attend, qu’est-ce qu’on fait pour un monde différent ? » En interrogeant notre passivité collective et notre désir de changement, Bagdad Rodeo nous incite à réfléchir à nos actions et à notre rôle dans la société.

Avec ses mots, MGR Delatourette, résume cette antinomie de manière poignante : « Du confort, de la surconsommation, un semblant d’appartenance à une classe sociale, de la réussite. Un schéma bien établi qui rentre en contradiction avec la logique qui nous obsède, pour un monde meilleur et pérenne. On a tous envie de changement, d’un avenir différent, mais on reste toujours, le cul sur le divan… »

“LE DIVAN” est une métaphore de notre immobilisme face au train-train. La routine nous éloigne de nos aspirations les plus profondes.

Et que dire de cette dépendance à l’alcool et aux médicaments, ces béquilles sur lesquelles nous nous appuyons pour supporter le poids écrasant de nos vies vides de sens ? “Un peu d’alcool pour tenir, pour faire passer le temps”, mais au fond, qu’avons-nous à espérer d’une société qui nous maintient sous l’emprise ?

Nous sommes là, à contempler le tableau désolant de nos existences étouffées par l’ennui et la conformité, à nous demander ce que nous attendons vraiment. “À rêver d’un avenir différent”, d’un monde où la liberté ne serait pas un vain mot, où le bonheur ne serait pas conditionné par notre capacité à consommer et à obéir aux diktats du capitalisme.

Malgré nos aspirations et nos rêves, nous restons là, immobiles, scotchés sur un divan, incapables de nous lever et de défier le système.

« LE DIVAN » est une chanson rock contestataire qui plaira aussi aux amateurs de Souchon, Devo, des B-52’s et des Rita Mitsouko.

« LE DIVAN », titre extrait de « QUATRE – PART.1 – L’Album sans Fin » est le miroir d’une époque. La composition permet aussi de découvrir une nouvelle facette de Bagdad Rodeo, plus mélancolique, presque minimaliste, mais définitivement engagée. C’est une autre façon de faire passer la pilule, avec douceur, plus délicatement que d’habitude.

Paroles et Musique de Ludovic DUFOUR et Christophe SANCHEZ – Éditions Amoc

La photographie du divan est d’Édith Gaudy : célèbre divan localisé à Clarksdale

Pour en savoir plus sur BAGDAD RODEO

L’album QUATRE – L’ALBUM SANS FIN – PART.1 de BAGDAD RODEO est disponible dans notre boutique

GWAWR, L’AUBE EN GALLOIS, EST UN VOYAGE CAPTIVANT, DES SOUVENIRS ET DES SENTIMENTS MIS EN MUSIQUE

Le contrebassiste et compositeur britannique Gary Brunton revient sur le devant de la scène avec son tout nouvel opus, « GWAWR » . Ce nouvel album, attendu avec impatience, offre une merveilleuse immersion dans l’univers du jazz, portée par des compositions originales et des moments d’émotion palpable.

Accompagné par le saxophoniste François Jeanneau, le batteur Andrea Michelutti, et le pianiste Paul Lay (Emil Spanyi sur trois titres), Gary Brunton nous embarque une nouvelle fois dans un périple musical riche en émotions. À travers « GWAWR », le contrebassiste revisite avec tendresse des moments marquants de sa vie, s’inspirant du Pays de Galles qu’il aime.

L’album s’ouvre sur « Fort Steven n°5 » , un hommage vibrant à un ami disparu, mêlant habilement jazz modal et funk, dans l’esprit de John Coltrane. Avec « Tim’s Tune » , Brunton aborde avec sincérité la douleur de la perte d’un être cher, témoignant de sa résilience face à l’adversité.

Au fil des morceaux, « GWAWR » nous transporte dans les rues de l’enfance de Gary Brunton à Burnley, à travers des compositions telles que « Lansdowne » , évoquant des souvenirs enfouis, ou encore « Hawthorne » et « Ramsbottom CC » , plongeant l’auditeur dans l’univers des jeux d’enfants bercés par le son des battes de cricket.

L’album réserve également des moments d’évasion pure, à l’image de « Chant in the Night » , une composition envoûtante de Sidney Bechet, sublimée par le jeu magistral de François Jeanneau et la batterie envoûtante d’Andrea Michelutti.

Gary Brunton confie que « GWAWR » est teinté par le Pays de Galles, où il a vécu. Cet album est également marqué par des clins d’œil, à l’instar de « What a Dream » , la face « B » de « Chant in the night ». François Jeanneau a proposé ce morceau qui met en lumière le jeu de stride piano de Paul Lay.

Enfin, « GWAWR » s’achève en apothéose avec « Song for BWB » , une composition d’inspiration « latino » dédiée à l’épouse de Gary Brunton, Béatrice, incarnant parfaitement l’amour qui dure. Commencée juste après leur mariage, il lui aura fallu 30 ans pour la terminer et la dévoiler.

« GWAWR » offre ainsi une expérience musicale captivante, portée par le talent incontestable de Gary Brunton et de ses complices. Avec cet album, le quartet nous invite à embarquer à bord de son train, pour un voyage au cœur des souvenirs et des émotions.
Les vidéos qui illustrent de nombreux titres de l’album sont réalisées avec des images d’archives de la famille Brunton, comme la suite logique et authentique de l’album «
TREN DYDD» (Juste Une Trace, 2023).

Gary Brunton – Contrebasse
François Jeanneau – Saxophone Soprano
Andrea Michelutti – Batterie
Paul Lay – Piano

En savoir plus sur les musiciens

Sortie le 26 avril – disponible dans la boutique

Produit par Gary Brunton pour Juste Une Trace
Conseils artistiques par Thomas Savy, Serge Merlaud & Bojan Z
Enregistré et mixé par Vincent Mahey et Arthur Gouret au Studio Sextan
Masterisé par Raphaël Jonin

Musiques de Gary Brunton
Éditions Amoc
sauf “Chant in the Night” et “What a Dream” de Sidney Bechet (Exclusive Publications Inc.) et “Poem for n°15” de Steve Khun (Stelk Music Co.)

Photographies par Camille Huguenot
Design graphique par Corinne Garino

CO2NARD, LA FORMULE MAGIQUE

Bagdad Rodeo, le groupe dont le sarcasme est aussi tranchant que des riffs des guitares, dévoile son nouveau single et clip, « Co2nard », extrait de “Quatre – L’album sans fin – Part 1″.

Dans un monde où l’ego surdimensionné et la course aux likes règnent en maître, Bagdad Rodeo délivre un uppercut musical avec « Co2nard« . Les paroles, aussi subtiles qu’un coup de masse dans une porcelaine de Chine, explorent avec délectation l’univers kafkaïen des influenceurs et de leur obsession pour le vide, le néant.

« Je passe ma journée à oil-pé à faire des selfies » chante MGR Delatourette, offrant une observation cinglante sur la vie des stars des réseaux sociaux, dont la profondeur équivaut à celle d’une flaque d’eau après une averse.

En prenant pour cible les narcissiques numériques, Bagdad Rodeo décape les couches superficielles de l’entertainment pour révéler le cynisme qui s’y cache. « Vendre ma mère pour des lèvres en forme de knacki », déclarent-ils avec un humour aussi noir que du charbon.

Dans cette nouvelle tendance où le bon côtoie le mauvais, voire le très mauvais, Bagdad Rodeo refuse de rester passif. « Co2nard » est un appel à l’action, une formule pour tous ceux qui refusent de voir la société sombrer dans l’obscurité, l’avidité et l’égocentrisme.

Bagdad Rodeo, connu pour son franc-parler et son engagement, n’hésite pas à dénoncer cette dérive dans « Co2nard » et invite ainsi le public à se joindre à eux dans leur combat contre cette nouvelle forme de parasitisme social, où le vrai talent est relégué au second plan au profit de la manipulation et de la superficialité.

Bagdad Rodeo ne fait toujours pas dans la dentelle, et « Co2nard » en est la preuve ultime. Préparez-vous à rire, à réfléchir, et à remettre en question vos propres selfies.

Pour en savoir plus sur BAGDAD RODEO

L’album QUATRE – L’ALBUM SANS FIN – PART.1 de BAGDAD RODEO est disponible dans notre boutique

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