Avec Graveyard, Harmonic Permanent Drive donne le ton : un premier single intense où rage, tension et désorientation s’entrechoquent.
Un déferlement de tension et d’urgence. Avec Graveyard, Harmonic Permanent Drive pose les bases d’un noise rock qui s’écrit dans la fureur et l’effondrement. Ce premier extrait de l’album Waiting [for Joy] à paraître le 25 avril, propulse l’auditeur dans une atmosphère où la rage se heurte au néant, où chaque son résonne comme un appel à survivre dans un monde en ruines. Les guitares abrasives, les nappes de synthés saturées et une section rythmique implacable dessinent les contours d’un chaos incontrôlable. Graveyard propose une mélodie entraînante avec un refrain contagieux, qui s’imprime dans l’esprit et reste en tête toute la journée. Mais au milieu des cendres, quelque chose persiste. Un battement. Une tension qui refuse de s’éteindre.
Ici, la violence et la perte occupent le devant de la scène. Les guitares dissonantes creusent le vide, tandis que les rythmes pulsés et les textures industrielles créent un sentiment de malaise.
« C’est un titre qui explore la désolation intérieure et la perte de repères, porté par une énergie qui évoque celle de Queens of the Stone Age, en ouverture de l’album, Graveyard frappe fort avec un départ explosif », confie Éric Martin.
Un moment de répit de courte durée survient : les instruments repartent dans une course effrénée, où chaque note semble accentuer le chaos sous-jacent. « Les montées successives de synthé en saturation sur un rythme effréné, suivies d’une pause marquée par un ensemble de cordes cinématographiques, avant que la guitare et la basse ne se résolvent dans l’ivresse de la vitesse et plongent l’auditeur dans un tourbillon sonore », ajoute Éric Martin. L’intensité de la composition trouve un écho direct dans le texte, notamment à travers cette phrase clé : « NOWHERE TO BE, NOWHERE TO LIVE ».
Pour accompagner la sortie du single, le groupe dévoile un clip brut et intense, à l’image de son approche scénique, réalisé par Mariexxme. Le montage dynamique et le traitement visuel renforcent la nervosité du morceau. Tout est filmé sur scène, un choix logique pour ces musiciens expérimentés (We Insist! Treponem Pal…).
Entre échos obsédants et dévastation pure, Graveyard est une descente implacable dans le vide existentiel, où rien ne semble stable, et où tout est au bord de la décomposition.
Ce n’est que le début. La tempête arrive.
Retrouvez GRAVEYARD dès maintenant sur toutes les plateformes et bientôt dans l’album WAITING FOR JOY

Éric Martin – guitare, chant / project manager
Syn-Anton – machines, chant / industrial engineering
Aurélien Esquivet – basse / operations research
Étienne Gaillochet – batterie, chœurs / quality control
Produit par Fuzz-Wire
Enregistré à Le ventre de la baleine
Mixé et masterisé par Fred Nout
Photographies par MarieXXme
Design par Aurélien Esquivet
License Juste Une Trace
Date de sortie : 25-04-2025
Pour en savoir plus sur les artistes
EN AVANT PREMIÈRE l’album WAITING FOR JOY (édition CD) est disponible dans notre boutique
