Juste une Trace

ACTUS

Hommage aux Travailleurs Essentiels

Vidéo simple et poignante réalisée par Mirkö Lafrenière, à partir de dessins de Xavier Delaunoy (XD), du titre TRAVAILLEURS ESSENTIELS qui figure sur l’album LE COEUR SEC de JAY AND THE COOKS.

Il suffit de regarder pour comprendre. Des explications de Jay Ryan, auteur des paroles, sont publiées le 23 mars 2021.

Paroles de Jay Ryan
Musique de Stéphane Missri
Éditions Amoc

TRAVAILLEURS ESSENTIELS est sur l’album LE COEUR SEC qui sort le 30 avril 2021 mais qui est disponible en direct dès à présent dans notre boutique.

Double récompense pour Night Bus !

Gary Brunton annonce l’arrivée imminente de SECOND TRIP pour Night Bus . Le nouvel album enregistré au Studio Sextan en décembre est en cours de finalisation. Sa sortie est programmée pour le 30 avril 2021.

On retrouve évidemment Gary Brunton (contrebasse), Bojan Z (piano), Simon Goubert (batterie) et de belles surprises… notamment avec François Jeanneau à la direction artistique.

Les bonnes surprises n’arrivent jamais seules. Peu après avoir initié la production du deuxième album, Juste Une Trace est aussi récompensé. Le magazine américain DownBeat vient de publier sa sélection des meilleurs albums 2020… et Night Bus, premier album du trio, est dans le top ! À noter que c’est le seul album «made in France» à en faire partie !

À partir d’une entrevue avec Paul Bessone (directeur de Juste Une Trace), Gary Brunton présente Second Trip de Night Bus en 5 épisodes de 3 minutes chacun, dans un format bien sympathique. Le montage vidéo a été confié au réalisateur Mirkö Lafrenière.

Pour en savoir plus sur SECOND TRIP, il vous suffit de regarder les 5 épisodes, dans l’ordre ou dans le désordre ! (vidéos ci-dessous)

Le Jazz, une énergie pure et renouvelable

Nous sommes dans les années 80. Le compositeur et musicien Georges Beckerich garde des souvenirs très forts de ses premières années d’initiation au jazz, de cet apprentissage d’une musique qui lui est tout de suite apparue comme essentielle, existentielle.

Georges Beckerich a fait ses premiers pas dans la classe de jazz du Conservatoire de Marseille dirigée par Guy Longnon. Son premier rendez-vous avec lui était surréaliste. Il nous le raconte.
« Je me retrouve devant un petit bâtiment en métal, avec un toit en tôle ondulée, comme un préfabriqué de chantier, au milieu de la cour. Guy est en retard. Quand il arrive et ouvre la salle, je vois des instruments de musique, batterie, amplis, piano au centre. Sous le piano, une flaque d’eau. Et dans la flaque d’eau, un rat mort, pattes en l’air, sur le dos. Nous sommes plusieurs à passer l’audition d’entrée. Au moment où Guy m’appelle, le verre de ma montre explose…si c’est cela l’enfer, je veux bien y aller ! »

Georges Beckerich exprime très clairement les raisons de son attrait pour le jazz et les musiciens sont nombreux à penser comme lui. Voici ses principales sources de motivation que nous partageons avec le plus grand nombre :

  • – avoir la liberté d’agir sur tous les aspects harmonique, rythmique et mélodique,
  • – définir de nouvelles règles en fonction des « climats » des standards,
  • – écouter les autres musiciens et être écouté par eux seconde après seconde,
  • – inventer, composer, arranger et toucher des instants de grâce où l’improvisation individuelle ou collective nous amène à une complicité et une complémentarité artistique qui aiguise tous les sens. En pleine conscience !

Pour Georges Beckerich, le Jazz, c’est de l’énergie pure et renouvelable.

Les influences de Laurent Bonnot

Le compositeur et bassiste Laurent Bonnot n’a pas la volonté de se rattacher à un courant musical particulier. Sa musique est une fresque qui présente des paysages variés, libres et faciles d’accès, dans la famille du Jazz.

Aquarelles et peintures à l’huile se succèdent pour soutenir une écriture toujours fine et délicate, qu’il interprète librement en compagnie de Marc Copland au piano, Ramon lopez à la batterie et Gueorgui Kornazov au trombone. Sans pour autant vouloir se comparer aux grands compositeurs français du début du XXème Siècle, Laurent Bonnot qualifie son nouvel album d’Impressionniste.

Les Nymphéas de Claude Monet – le bassin de nénuphars à Giverny – Photo Edith Gaudy

« Mes influences, j’en ai évidemment. Au niveau de mon instrument, il y a juste deux bassistes qui me parlent : Steve Swallow et Carles Benavent.
J’en admire beaucoup mais au niveau de mon esthétique, il y a juste ces deux là. Sinon mes références sont des saxophonistes (Bob Berg, Chris Potter…) et des guitaristes (Abercrombie, Frisell, Nguyen Lê…..)

Les Nymphéas de Claude Monet – le bassin de nénuphars à Giverny – Photo Edith Gaudy

« Je n’ai pas écrit SONGS FOR OSCAR en pensant à une esthétique particulière mais plus en terme de composition. Les thèmes de fin sont souvent des palindromes du thème, il y a beaucoup de changement de tonalités, souvent un par mesure. Il y a également beaucoup de métriques impaires et d’équivalence rythmique.»

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