Juste une Trace

ACTUS

Revue de presse – Distorsion Cérébrale (1)

La presse en parle ! Voici une sélection d’extraits d’articles et des radios qui diffusent Distorsion Cérébrale de Jimm

“… Pas sûr que ça plaise à tout le monde, mais on reste dans un pays libre et laïque, ou la liberté de pensée et d’expression restent sacrées. Si le rendu est entraînant, une certaine naïveté se dégage de l’ensemble, faisant de ce disque une oeuvre simple et vraie. Pas de prise de tête, du rock, franc et direct. Comme cela devrait l’être tout le temps….”

Metalmp – 27.11.2018

METAL – EYES

“… Il est coutume de lire ou t’entendre que le troisième ouvrage d’un musicien, d’un groupe, est celui de la maturité, celui qui sacre le potentiel et confirme la solidité de son édifice artistique. C’est donc chose faite et avérée avec les 11 compositions rassemblées dans Distorsion Cérébrale. Album qui laissera plus d’une trace, à n’en pas douter. Et qui n’engendre aucune déformation de la réalité : une vraie réussite! …”

Ben – 20.11.2018

METAL INTEGRAL

“… Ce nouvel album confirme tout le bien annoncé par son prédécesseur. On apprécie ses aspects fougueux, ses tournures musclées, son caractère déterminé. Jimm évolue dans un registre éloigné des sillons actuels, son rock metal possède une certaine maturité et une identité propre. « Distorsion Cérébrale » ne peut rester son silence, cet ouvrage doit être écouté pour toutes ses richesses…”

Philippe Garcia – 24.11.2018

METAL ACADEMY

“… JIMM à musicalement le cul entre deux chaises. Rock Hard et Heavy Metal. Il a réussit le mariage parfait de guitares Heavy et d’un style plus Rock Hard, qui s’acoquinent parfaitement aux paroles enragées, rebelles. TRUST n’a qu’à bien se tenir !

Du Canta, du Mass Hysteria, du Clash dans certaines guitares rythmiques, du Leïtus… Au final, JIMM propose un bon Heavy Rock ou Rock Hard, c’est selon, qui nous saisit et finit par nous emmener dans son voyage musical …“

Alain Durieux – 21.11.2018

FRANCE METAL MUSEUM

“… Un opus où son rock à fleur de peau peut facilement se diluer dans un univers propice à la rébellion. Les compositions sont solides, hargneuses et taillées pour affronter une tempête de sable. La personnalité authentique du parisien ne se perd à aucun moment entre les sillons et on se demande jusqu’où le charismatique guitariste nous emmènera. Le single “Big Brother” sonne comme un avertissement et donne le ton à l’album. Le francilien cherche ici à pousser un peu plus loin la réflexion en sombrant un peu plus dans la noirceur et en structurant son discours par une approche réfrigérante…”

Arno Jaffré – 13.11.2018

ROCK-U

“… Jimm nous livre ici un album à fleur de peau et très bien foutu. Difficile de rester de marbre face à un brulot pareil, on tape du pied et une furieuse envie de battre le pavé nous prend. J’ai beaucoup aimé ce Distorsion Cérébrale à la production impeccable et hargneuse, mixé de main de maître par Fred Duquesne. Jimm est français, il chante en français, et c’est carrément bien. Must have 2018…”

Stephan Birlouez – 28.11.2018

AMONG THE LIVING

“… C’est la combinaison de Jimm à la guitare et de Guillaume à la batterie qui aura produit cet excellent  » Distortion cérébrale  » … un album qui respecte à la perfection l’équilibre plutôt fragile tout de même entre chanson à texte à la française et esprit rock toute guitare dehors !

Une vrai réussite dans le genre et une vraie tuerie, je vous dis !…”

Wil – 03.12..2018

NAWAK POSSE

RADIODIFFUSIONS

RADIO PULSAR – FREQUENCE AMITIE VESOUL – Rock En Stock – RADIO ANTENNE PORTUGAISE – L’Autre Monde – RADIO CAMPUS ROUEN – NO NAME RADIO – RADIO MOSAIQUES FM – ALL ROCK TV

Revue de presse – Up The Mississippi

La presse en parle ! Voici une sélection d’extraits d’articles et des radios qui diffusent Up the Mississippi de Jay and The Cooks

«… Les onze titres gravés sur cette galette pure « roots » comprennent bien entendu les compositions de Jay, mais aussi un traditionnel et deux reprises, l’une de Muddy Waters, l’autre de Bob Dylan. De plus, respectant la démarche, la production est analogique évidemment. Alors le voyage, celui de Jay, à n’en pas douter, se savoure titre après titre au gré des musiques que le Mississippi a vu naître, ces musiques qui nous font remonter à la source des musiques « rock » actuelles, il fallait le souligner. Après « I’m hungry » paru en 2015 et « Dutch oven » sorti en 2013, « Up the mississippi » complète une certaine trilogie que tout amateur de musiques, au sens large du terme, se devrait de posséder, alors bravo à Jay And The Cooks pour le voyage…» –
Black Roger – 05.11.2018
PAVILLON 666

«… « Un album, Up the Mississipi, qui mérite le détour et fait voyager pendant 11 plages où l’on remonte le fleuve en blues, rock, boogie-woogie. On swingue, on claque des doigts et on est conquis. Au pays de Muddy Waters et des as de la six-cordes et pas celui de … qui vous savez, le blond tout bouffi… C’est simple et chaleureux, voilà ce qu’on aime, loin de complications et de fausses manières, à l’image du monsieur. Album parsemé de reprises/ hommages, mêlées aux créations et même une chanson en français ! Pour ceux qui on envie de creuser, sachez que sur le site de Jay, vous avez une explication précise concernant chaque chanson, et je vous engage à tout lire, c’est réellement passionnant et documenté…»
Jérôme Vaillant – 13.09.2018
SONGAZINE

«… Voilà qui indéniablement débute comme du Blues pur jus! Et cela se prolonge immédiatement après par un bon vieux Rock’n’roll qui affirme la filiation directe entre les deux univers musicaux. Bien que d’origine irlandaise, le gaillard distille et balance une musique d’inspiration 100% America. […]Un certain nombre d’instruments et le nom de famille de l’artiste évoquent imparablement l’Irlande d’où vient ce Jay-là… ce qu’il suggère avec bonheur dans ses mélodies. A signaler, deux reprises, “Rollin and Tumblin” de Muddy Waters et “Maggie’s Farm” de Bob Dylan qui s’ajoutent aux cinq titres composés par Jay. De son côté, Philippe Gosselin a composé “Au Bord De l’Eau”, Tyler Jameson Barnes a lui signé “I’m Really Glad I Met Her”, et “Hand Me Down My Walking Cane” est un ‘traditionnel’. Un album qui préfigure une rentrée musicale incandescente!…»
Dominique Boulay – 30.08.2018 
PARIS MOVE

«… Une voix un peu nasillarde et une production analogique pour donner encore plus de relief à l’ouvrage et voilà un « Up The Mississippi » qui ne devrait pas passer inaperçu avec son artwork directement rapporté de Leland, sur l’incontournable Highway 61. En fermant les yeux, on s’y croirait …»
Fred Delforge – 24.08.2018
ZICAZIC

«… « Up The Mississippi » est en tout cas un opus attachant et authentique dont le charme et la couleur musicale très roots sont renforcés par une production entièrement analogique. Avec humilité, passion et un brin de nostalgie, il nous embarque pour un périple le long du fleuve mythique jusqu’à sa source au Minnesota qui vit naître Bob Dylan. Le voyage se termine ainsi par une reprise de ‘Maggies Farm’, titre qui fit basculer l’icône folk vers le côté obscur du blues, le rock. Mais ça, c’est une autre histoire…»
Struck – 18.10.2018
MUSIC WAVES


RADIODIFFUSIONS

Collectif des Radio Blues – RAM05 – Cross Blues Station – RADIO BETON – Du Blues Sinon Rien – RADIO ARC EN CIEL – Electrick Shock – RADIO GRILLE OUVERTE – Crossroad – RADIO PORTUGAISE – L’Autre Monde – LIBELLULE FM – Highway55 – RADIO LIBERTAIRE – FREQUENCE AMITIE VESOUL – Rock En Stock – RADIO PULSAR – RADIO DECLIC – Declectic Jazz – RADIO COTEAUX – Blues Jean – RADIO FMR – Traffic 2 Rock – RBA FM Auvergne Limousin – Radio Blues Intense – Le Blues Café Live

Goodbye Tyler

Tyler Jameson Barnes était un poète, un compositeur et un luthier américain. Il était aussi un excellent cuisinier. Fils de l’actrice Joyce Jameson et du célèbre compositeur et animateur Billy Barnes, il habitait à Hawaï lorsqu’il a écrit et composé « I’m Really Glad I Met Her » pour son ami Jay Ryan et plus spécifiquement pour l’album UP THE MISSISSIPPI de Jay and The Cooks. Tyler venait de laisser les fourneaux et cela lui avait donné un coup de boost pour reformer un groupe.

La relation de Tyler avec Jay remonte à loin. Ils viennent tous les deux de Californie, dans la région de Los Angeles. Tyler et Jay sont nés au début des années 50. Le premier a grandi à Hollywood, le second à Long Beach. Puis ils ont tous les deux changé de région et fini pas se rencontrer à Austin (Texas) dans les années 70.

L’an dernier, Tyler a décidé de rejoindre le continent puis a disparu pendant plusieurs semaines. Il a retrouvé la femme de sa vie et ils se sont aimés. Installés ensemble en Arizona depuis quelques mois, Tyler Jameson Barnes vient de finir son voyage.

 

I’m Really Glad I Met Her
paroles et musique Tyler Jameson Barnes

Well she used to love me then
But she sure don’t love me now

Well she used to love me then
But she doesn’t love me now

Well I wanted her to love me
Any way and any how

Well she’s probably in a mental hospital
Or locked down tight in jail

Well she’s probably in a mental hospital (you know, one of those institutions)
Or locked down tight in jail

And if I had a dollar
I wouldn’t go her bail

I’m on another road now baby
Don’t think our paths are gonna cross

I’m on another road now baby
Don’t think our paths are gonna cross

I’m really glad I met you
Nothin’ ventured nothin lost

 

2017 – Éditions AMOC

Les origines du projet Up The Mississippi

UP THE MISSISSIPPI est une création musicale de Jay and The Cooks. Au rythme du Blues, du Rock, de la Country, du Cajun, de la Folk, nous remontons le Mississippi.

L’album sort le 14 septembre 2018 mais est disponible en avant-première et en exclusivité sur le site Juste Une Trace. Il présente un véritable panorama sur les musiques nord-américaines avec des compositions majoritairement originales. En spectacle, Up The Mississippi est agrémenté de photographies, de vidéos et de lectures d’auteurs emblématiques.

Entretien avec Jay Ryan sur les origines du projet

Quand j’étais ado, je jouais du trombone dans un orchestre du Michigan, celui de l’école d’Algonac. En 1966, nous avons été invités à jouer avec notre Marching Band dans la grande parade de Chicago qui réunissait les meilleurs orchestres de la région.

J’ignorais que Muddy Waters jouait ce même soir dans un club du South Side. Je ne savais même pas qu’il existait !

Jay Ryan – Photo Bernard Rousseau

Plus tard, avec ma famille, nous avons emménagé à Elkhart dans l’Indiana. J’étais encore plus proche de Chicago mais je n’avais toujours pas entendu le moindre morceau de Muddy Waters !

À 19 ans, quand j’ai finalement eu un de ses disques entre les mains, ma vie a changé.

En 1975, je vivais à Austin, au Texas. Là-bas, on pouvait entendre toutes sortes de musique. Au club Armadillo, on pouvait voir et écouter tous les groupes imaginables. Il y avait Commander Cody and His Lost Planet Airmen qui jouait du rockabilly, d’autres de la country et même des chansons de camionneurs … The Fabulous Thunderbirds jouaient du blues, Clifton Chenier venu de Louisiane jouait du Zydeco tous les mois à l’Antone’s Club… Toutes ces musiques trouvaient leurs racines au bord du Mississippi.

De la Nouvelle-Orléans jusqu’au Delta, en passant par Memphis, Saint Louis, sur les berges des rivières Ohio et Chicago, partout où l’eau s’écoule, des courants musicaux se forment et nous irriguent. Même Bob Dylan est né dans l’Etat où le Mississippi prend sa source.

En 1998, j’assistais à une conférence du Folk Alliance Music à Memphis. On avait loué une grosse Cadillac et traversé le Mississippi en direction de l’Arkansas. C’est énorme, dangereux. C’est boueux, peuplé essentiellement de pauvres qui vivent le long des rives du fleuve. C’est aussi un des plus étonnants lieux aux États-Unis, une intarissable source d’inspiration pour de nombreux auteurs.

Avec UP THE MISSISSIPPI, je n’essaye pas de reproduire ce qui a déjà été réalisé par les plus grands. La plupart des chansons sont des compositions originales. C’est une démarche personnelle et un hommage à la musique qui m’a influencé tout au long de ma vie.

Nul besoin d’épiloguer. Je ne viens pas du Mississippi, je ne peux ni ne souhaite chanter comme les gars de Clarksville, mais les messages qu’ils ont transmis au monde entier, comme ceux des gens de Memphis ou de Nashville, sont au coeur de ma démarche.


Dans cette création, je voulais aussi donner une bonne place à la littérature. J’ai donc contacté Greil Marcus qui a accepté que j’intègre dans le spectacle des extraits de « Mystery Train ». La Minnesota Historical Society Press a également accepté que j’insère des passages de « A Stretch on the River » de Richard Bissell. Par moments, vous entendrez de courts extraits de « Adventures of Huckleberry Finn » de Mark Twain dans une ambiance sonore traditionnelle et improvisée. Des lectures en français dans les pays francophones et en anglais dans le reste du monde.

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The Dead Boys repris par Treponem Pal

« I Need Lunch » est un titre du groupe de punk rock américain The Dead Boys.
En 1976, le groupe débarque à New York en provenance de l’Ohio. Très vite, les musiciens s’acoquinent avec les Ramones puis font leurs premiers pas au CBGB qui deviendra, par la même occasion, leur quartier général. Ils sont explosifs, sans retenues et attirent l’attention.

the-dead-boys-cover-young-loud-and-nottyAprès 3 jours de studio initialement pour enregistrer une démo, le groupe réalise «Young Loud and Snotty» son 1er album. La sortie est rapide, tout comme le reste, en octobre 1977. « I Need Lunch » y figure et fait référence à Lydia « Lunch » !

Le groupe sera véritablement actif jusqu’en 1979 puis les musiciens se séparent. Un des membres, le chanteur et auteur Stiv Bators traversera peu après l’Atlantique pour former, avec Brian James (The Damned), Dave Tregunna (Sham 69) et Nick Turner (The Barracudas) : The Lords of the New Church.

Stiv Bators et Jimmy Zero ont composé « I Need Lunch » pour Lydia Lunch,  celle qui deviendra une personnalité du mouvement no wave (par opposition à la new wave). Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le titre n’évoque pas simplement une femme objet, une femme pour contenter l’appétit sexuel d’un homme. En fait, Stiv Bators a rencontré Lydia sur St. Mark’s Place (East Village – New York) quand elle n’avait qu’une quinzaine d’années, qu’elle zonait, qu’elle fuguait… Une fois rentrée chez elle, à Rochester (NY), ils ont poursuivi leur relation en s’écrivant. De retour à New York, elle formera Teenage Jesus and the Jerks. C’est Willy DeVille qui lui aurait donné son surnom, « Lunch » car elle mangeait souvent dans les assiettes des Dead Boys… Finalement, il devait y avoir de gros sentiments entre eux.

Lydia Lunch - Photo Edith Gaudy
Lydia Lunch – Photo Edith Gaudy

Quand « I Need Lunch » est sorti, Marco de Treponem Pal était encore ado. Ce titre punk l’a sans doute influencé, tout comme on se souvient tous de ce qu’on écoutait à cet âge. À l’adolescence, les oreilles, les goûts et les cerveaux se forment !

Mais cette version de « I Need Lunch » par Treponem Pal a aussi quelque chose d’exceptionnel… On retrouve Sven Pohlhammer (Parabellum) aux guitares. En y réfléchissant un peu, on l’imagine maintenant en train de jouer avec Stiv Bators.

Treponem Pal est vraiment maître en la matière pour créer des covers et sa version de « I Need Lunch » devient un véritable hymne.

L’album Rockers’ Vibes avec cette version de I Need Lunch est disponible  ici

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Hear Me Calling par Treponem Pal

« Hear Me Calling » est un titre du guitariste-chanteur Alvin Lee. Il l’a composé pour son groupe originaire de Nottingham Ten Years After. « 10 ans après »… Drôle de nom pour ce groupe anglais de blues/rock. Nous sommes en 1966, la formation, qui a déjà changé de nom plusieurs fois depuis 1962, s’installe à Londres et se donne un coup de neuf en adoptant une nouvelle dénomination. Pourquoi « Ten Years After » ? A priori pour célébrer le 10ème anniversaire de la naissance du Rock’n’Roll ou plutôt pour célébrer l’avènement d’Elvis Presley.

ten-years-after-cover-stonedhenge« Hear Me Calling » est d’abord sorti sur un 45t fin 1968. Dans certains pays (dont la France, l’Allemagne, l’Angleterre, les États-Unis…), il est sur la face B du support. « I’m Going Home » est sur la face A et doit révéler le groupe. « Hear Me Calling » figure sur l’album « Stonedhenge » enregistré du 5 au 13 septembre 1968 aux studios Decca (Londres) et entièrement produit par Mike Vernon (David Bowie, John Mayall, Champion Jack Dupree…). L’album est commercialisé en février 1969 et fait un flop… Durant l’été de la même année, après ses passages remarqués notamment au Newport Jazz Festival, au Seattle Pop Festival et à Woodstock, Ten Years After prend son envol un peu partout.

Slade
Slade

Mais c’est une version interprétée par un autre groupe anglais qui va imposer « Hear Me Calling » comme un véritable hymne rock.
Le titre figure en 1972 sur le premier album du groupe Slade : « Slade Alive !». Un album produit par Chas Chandler (bassiste des Animals) qui comporte une majorité de covers dont « Born To Be Wild » de Steppenwolf.

Presque 50 ans après sa création par Alvin Lee, Treponem Pal reprend « Hear Me Calling ». Le groupe voulait faire un joli clin d’œil à l’auteur. C’est aussi une belle façon de fêter le 30ème anniversaire de Treponem Pal, tout en se faisant plaisir. Treponem Pal est passé maître en la matière pour créer des covers intemporels et sa version de « Hear Me Calling » décape. Elle est simple, pleine d’énergie et de vie. Les guitares sont grasses, la voix est chaude. Tout devient évident.

Hear me calling
Hear me calling loud
If you don’t come soon

L’album Rockers’ Vibes avec cette version de Hear Me Calling est disponible  ici

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