SUCH A NICE PLACE

SUCH A NICE PLACE est un album rock varié, percutant et insolite, enregistré spontanément en quelques prises analogiques, avec un petit côté « old-school décompléxé ». C’est aussi le sixième album de JAY AND THE COOKS. Cet opus, composé d’œuvres originales et de légendes urbaines de Jay Ryan, propose un mélange audacieux de Rock, Folk Rock, Punk, Blues, Americana, et Country décalée.

Un album rythmé et intense pour des légendes urbaines
SUCH A NICE PLACE est le fruit de l’expérience unique de Jay Ryan, Américain vivant en France depuis 1980. Fin observateur, lisant le New York Times et Le Monde, dévorant les livres et passionné d’art et de cuisine, il présente à travers ses chansons de courtes histoires inspirées par la vie, de véritables légendes urbaines. Son regard sur la société est à la fois tendre, caustique et profondément humain. Et pour la musique, le septuagénaire devient de plus en plus électrique, rebelle et direct, comme si son passé proche du C.B.G.B. dans les années 70 ressurgissait.

Quelques mots de Jay Ryan sur tous les titres de l’album :

It’s such a nice place : les réactions des voisins après un fait divers. Funky mais probablement pas dansant !

Senators have kids : chanson politique dénonçant l’inaction des sénateurs américains face à l’urgence climatique, sacrifiant l’avenir de leurs propres enfants.

The Bitcoin Boogie : une mise en perspective du comportement ridicule des individus autour des cryptomonnaies. Du cash virtuel, du non-sens et beaucoup d’incompréhension.

The man who never smiled : l’observation d’un homme qui ne sourit jamais, celui qu’on croise à chaque coin de rue en imaginant la tristesse sous-jacente derrière cette moue permanente.

I’m Hungry : Jay a toujours faim, depuis qu’il est petit, alors il le clame et le revendique encore avec un peu d’humour. Rockin’ jusqu’au frigo.

I was in love : comme son nom l’indique, c’est une histoire d’amour mais celle-ci n’est pas réciproque. Elle a conduit l’artiste à New York puis en Europe, transformant sa vie.

Booze Mama : Ici, JJ Cale rencontre Bukowski sur un groove pour prendre la route. Tous les charmes et les risques de « boire sa vie ».

You can’t take your wine to Heaven : il s’agit de profiter de chaque instant et de chaque plaisir car on ne peut pas emporter son vin au paradis.

Mom liked Bad Boys : Voici un regard hors du commun posé par l’artiste sur sa mère et la dualité de ses choix d’hommes (aimer les mauvais garçons) face à l’éducation irréprochable qu’elle a donnée à ses enfants.

Digital Dude : regardez ces jeunes hommes perdus qui se cachent derrière leurs écrans d’ordinateur. Ils se nourrissent de vidéos YouTube et des podcasts à longueur de journées. Ils absorbent ces contenus jusqu’à l’explosion.