Juste une Trace

crowdfunding

Participer ne veut pas dire donner !

Juste Une Trace n’accepte pas les dons.

Toutes les sommes versées par une personne qui souhaite financer un projet de Juste Une Trace correspond à un pré-achat, une précommande ou une prévente.

En échange de sa participation effective, la personne recevra toujours un produit ou un service proposé par Juste Une Trace ou un partenaire et qui sera déterminé en fonction du montant de la participation consentie. On entend par participation effective toutes sommes non remboursées au contributeur.

Une prévente est une action qui consiste à commercialiser un produit avant sa mise sur le marché ou sa disponibilité physique ou tout simplement sa matérialisation.

Une précommande est une intention d’achat manifestée avant la fabrication ou la réalisation d’un produit.

Un pré-achat est une action qui consiste à placer une option d’achat sur quelque chose.

Dans l’hypothèse où l’Objectif de Levée des fonds ne serait pas atteint à l’issue de la Période de Collecte des fonds et que les conditions financières ne permettent pas de maintenir le projet, la personne qui a participé sera informée par courriel et devra signifier à Juste Une Trace, dans un délai de 10 jours, si elle souhaite :
– reporter sa participation sur un autre projet
ou
– obtenir un bon d’achat dans la boutique Juste Une Trace et valable un an ou un ou plusieurs produits physiques ou dématérialisés disponibles ou, plus généralement, un ou plusieurs produits ou services proposés à la hauteur de sa participation
ou
– obtenir un remboursement à la hauteur de sa participation (moins les éventuels frais retenus par des organisations tierces comme les banques ou Paypal ou l’État).

Do It Yourself … mais pas tout seul !

Souvent assimilé à une action du type « DIY » et au slogan optimiste « Do It Yourself !», le crowdfunding peut être un miroir aux alouettes et donc sans réelle portée pour un artiste ou un entrepreneur.

Dans l’esprit, c’est cool et sympa.  DIY, c’est un peu comme faire son potager. Mais pour avoir des résultats, il faut du temps et tout de même certaines compétences, et puis tout dépend aussi de la météo. Sans parler de l’envie de faire pousser ses propres légumes à la place d’en acheter à un bon jardinier-maraîcher.

Dans la réalité, « crowdfunding vs DIY » n’est qu’exceptionnellement une belle histoire. Certes, les collectes mettent du baume au cœur et du beurre dans les épinards mais tout le travail reste à faire.

DIY, ok ! Mais pas tout seul, c’est mieux !

Sur Juste Une Trace, les porteurs de projets (qui peuvent être les artistes) ont choisi de ne pas travailler tout seul. Ils sont accompagnés et conseillés. Juste Une Trace prend aussi des risques en mettant à disposition des ressources humaines et financières. Il s’agit d’une importante garantie pour les personnes qui souhaitent réellement soutenir ou conduire des projets. Lever des fonds, c’est bien ! Mais les gérer, c’est mieux !

À force d’entendre le cri « DIY ! », certains artistes finissent même par y croire, s’y mettent à fond… mais uniquement chez eux… sur le net… Puis se coupent du monde, de la réalité et/ou de leur création pour concentrer toute leur énergie à faire marcher les réseaux sociaux, un truc un peu virtuel et mystique, un peu comme si cela servait à quelque chose de souffler sur une éolienne. Le DIY sur le net, c’est évidemment faisable. Il existe de nombreux outils. Il faut simplement apprendre à s’en servir. Il faut aussi beaucoup de temps, d’énergie et un budget. On est bien loin de l’efficacité DIY du Black Flag de Greg Ginn ! Finalement, ils sont très nombreux les adeptes du « DIY » qui s’essoufflent, abandonnent et deviennent aigris (sans parler des factures qu’ils auront à régler à quelques consultants spécialisés en DIY qui ne savent même pas mettre en ligne correctement une vidéo et qui, finalement, auront vendu du vent aux porteurs de projets, des désillusions et du temps de parlotte).

Mais bien plus grave est l’échec affiché d’un projet de financement participatif. L’artiste qui n’arrive pas à avoir suffisamment de soutien devient une sorte de looser. Son image se dégrade y compris auprès de ses proches et de ses fans. Sur Juste Une Trace, l’artiste n’a pas à assumer et afficher son échec. En présentant les projets, nous sommes en première ligne et si les objectifs ne sont pas atteints, on pourra toujours dire que c’est à cause de nous. En d’autres termes, l’artiste est préservé. Son œuvre ne fait pas l’objet d’une cotation. Sa valeur ne subira aucune dégradation. En cas de succès, le projet sera récompensé et l’artiste plébiscité.

Si l’artiste n’arrive pas à atteindre un objectif purement financier de levée de fonds, certaines personnes diront facilement que son projet n’était pas bon ou encore que sa création était mauvaise. Pire encore, en un seul coup d’œil, il sera catalogué. Sur Juste Une Trace, en cas d’échec, les critiques iront à Juste Une Trace. L’artiste ne sera pas maudit.
Il pourrait suffire d’une simple coupure d’accès internet chez un généreux donateur potentiel le jour d’une fin de campagne pour avoir des répercussions très négatives sur l’image de l’artiste n’ayant pas atteint son objectif. Même s’il n’est pas responsable de la coupure, l’échec va lui coller à la peau. Sur Juste Une Trace, nous pouvons facilement, par exemple, nous adapter et prolonger la durée d’une campagne. Bien évidemment, cette action est à l’opposé de tout ce que tentent de démontrer les principaux acteurs du crowdfunding… mais nous n’avons pas les mêmes finalités. Pour nous, il ne s’agit pas prioritairement d’entrer dans le livre des records ou même de lever des fonds en un temps préalablement défini (et en général le même pour tous…) mais plutôt de réussir à réaliser et conduire le projet présenté.

L’objectif qui s’affiche est financier mais ce n’est pas une fin en soi. Les succès ne peuvent pas uniquement se résumer aux montants reçus. Les succès correspondent normalement à des réalisations concrètes, au plaisir de faire et à une bonne gestion. La levée d’argent n’est pas un aboutissement. Il ne suffit pas de réunir des moyens pour conduire un projet, il faut aussi être actif. Le financement participatif permet de réaliser plus facilement certains projets. C’est la réalisation et le développement du projet qui sont importants. Réussir à recevoir des fonds est une bonne chose mais bien utiliser les fonds disponibles est tout aussi important.

Pour bien utiliser des fonds, il faut souvent faire équipe. Dans la théorie, DIY est faisable. Dans la pratique, il faut le faire à plusieurs !

Piloter individuellement un projet de front est tout à fait faisable sur une certaine période. Mais il faut bien comprendre que la carrière d’un artiste, par exemple, ne se construit pas sur un projet mais plutôt sur de nombreux projets qui doivent s’imbriquer les uns aux autres.

DIY, oui !
Mais à plusieurs !

Si vous ne pouvez pas participer au financement d’un projet mais que vous voulez tout de même contribuer à son développement, vous disposez peut-être d’autres ressources, de compétences et/ou de temps. N’hésitez pas à nous faire des propositions : info@juste-une-trace.com

Ni banquier, ni trader, ni spéculateur !

Juste Une Trace n’est pas un intermédiaire financier qui réalise des encaissements pour le compte de tiers et n’effectue pas d’opérations financières ou de placements qui, généralement, ne rapportent qu’aux banques.

Juste Une Trace n’est pas un prestataire de services de paiement ni une banque. D’une part, le code monétaire et financier est très strict. D’autre part, nous n’avons pas du tout pour vocation de modifier dans ce sens nos activités. Du reste, en utilisant les services Paypal, nous n’avons pas accès aux données bancaires des participants et ne prélevons aucune commission sur les fonds versés. Ici, l’argent sert à conduire et développer des projets. Il ne s’agit en rien d’une opération de banque. Les fonds reçus sont déposés sur un compte paypal et y reste normalement durant toute la période de collecte afin de permettre, par exemple, d’effectuer plus facilement d’éventuelles opérations de remboursement si les projets ne peuvent pas aboutir ou si les participants ne souhaitent pas reporter leur financement sur d’autres projets.

Sur Juste Une Trace, les participants ne sont pas des spéculateurs. Leurs contributions ne sont ni des prises en participation dans le capital de l’entreprise ni dans les projets réalisés, ni des placements rémunérés ni même des achats de titres. Si vous avez envie d’acheter des actions, des parts d’un projet ou des titres divers et variés, adressez-vous à une banque ou le trader de votre choix. Vous pouvez aussi jouer en bourse mais nous vous rappelons toutefois que même si ces activités sont règlementées, elles ne sont pas dénuées de risques (surtout si vous avez affaire à des personnes ou des organisations peu scrupuleuses et qui, selon certains médias, font régulièrement preuve d’agissements douteux). Ici, les fonds que vous pouvez verser sont généralement d’un petit montant, ne peuvent pas vous mettre pas sur la paille et ouvrent droit à une contrepartie en plus d’avoir le plaisir de participer.

Les contreparties proposées aux participants sont clairement définies et leurs valeurs sont en rapport avec les sommes versées. Le contributeur peut être considéré comme venant d’acquérir un bien ou un service correspondant à sa participation effective.

Le fait de soutenir un projet sur Juste Une Trace ne peut pas être assimilé à un prêt ou à une opération de crédit au sens de la règlementation bancaire. Nous n’appliquons aucun taux d’intérêt et ne prévoyons aucune participation aux résultats (qu’ils soient positifs ou négatifs). Plus généralement, nous n’effectuons pas d’opérations de crédit.

De même, un participant qui désire considérer, à son libre arbitre, son soutien financier comme étant un prêt, le fera systématiquement à titre gratuit. Les prêts consentis à titre gratuit ne relèvent pas du monopole bancaire et ne nécessitent donc aucun agrément ou autorisation spéciale. Finalement, sur juste Une Trace, un contributeur n’est pas considéré comme exerçant de façon illégale la profession de banquier.

Ce qu’il faut aussi savoir sur le crowdfunding !

Préambule : les informations suivantes sont principalement destinées aux artistes et aux porteurs de projets qui n’ont pas de structures, qui s’intéressent au crowdfunding et qui souhaitent lever des fonds via une plateforme traditionnelle.

Lever des fonds ne s’improvise pas. Il faut mesurer les incidences d’une telle démarche. Ce qui suit n’est que très rarement communiqué. Nous avons volontairement choisi un style «billet d’humeur» histoire de faire passer la pillule. Pour de plus amples informations, vous pouvez notamment contacter votre centre des impôts…

Mise en situation classique : sur une plateforme de crowdfunding à la mode qui fait de l’intermédiation, un artiste gère habituellement son projet. Il reçoit éventuellement quelques conseils d’affichage et des astuces pour lever des fonds autour de lui. Avec de la chance et surtout les contributions de sa famille, des proches et des amis, l’objectif de levée de fonds est atteint. En moyenne, plus de 75% des contributions proviennent de gens qui connaissent l’artiste et son projet, des personnes qui sont directement sollicitées par l’artiste (il passe un lien sur le projet qu’il a affiché et demande un versement). Quelque temps après, l’artiste va enfin recevoir de l’argent pour passer à la véritable action…

Mais attention ! L’artiste ne doit pas oublier que les montants reçus sont des revenus… Ces revenus qui sont maintenant les siens font obligatoirement l’objet d’une déclaration. Ils viennent donc s’ajouter aux salaires et traitements et sont considérés dans le calcul des impôts personnels de l’artiste. Les fonds collectés peuvent augmenter le montant des impôts à payer, faire passer l’artiste d’une tranche à une autre, d’un taux à un autre, d’un niveau d’imposition à un autre.
Peut-être encore plus grave, les déclarations de revenus servent aussi à calculer des allocations diverses auxquelles un artiste (ou autre) peut prétendre. Soyons réalistes, un artiste qui présente un projet sur une plateforme de crowdfunding n’a généralement pas les moyens de réaliser le projet tout seul ou avec ses fonds propres. Il a besoin d’argent. Il ne roule pas forcément sur l’or et bénéficie peut-être d’allocations diverses qui lui permettent de joindre les deux bouts. Devra-t-il prendre le risque de voir ses allocations recalculées à la baisse ?

Bien évidemment, si la levée de fonds a pour but de lui permettre de vivre mieux, l’action est tout à fait louable. Par contre, la plupart des projets présentés n’ont qu’une portée limitée et ne génèrent qu’exceptionnellement, en cas de succès, des bénéfices financiers pour l’artiste. L’argent collecté ne sert quasiment jamais à rémunérer l’artiste, à le loger ou à le nourrir. L’argent sert à acheter des produits, du matériel ou des prestations. Alors oui, l’artiste aura réalisé son projet, peut-être en payant plus d’impôts et en perdant des allocations… Autant le prévoir !

crowdfunding JUT2Une sorte de double imposition : pourquoi l’État fait-il la promotion du crowdfunding et délivre-t-il des décorations ou encouragements à certaines plateformes à la mode ? Le crowdfunding génère de la TVA et devient un outil pour financer les gouvernements et leurs politiques. Généralement, l’artiste ou le porteur de projet bénéficie d’une franchise de TVA mais cela veut aussi dire qu’il ne peut en aucun cas la récupérer sur ses achats. En incitant les entrepreneurs et les artistes à développer des projets et donc à consommer encore plus alors qu’ils ne peuvent généralement pas récupérer la TVA sur leurs dépenses, l’État s’assure encore plus de taxes et surtout évite les remboursements. À moins de gérer sa propre structure, de passer par elle et de respecter les obligations administratives, légales et sociales, l’artiste ou le porteur de projet va personnellement payer les fournisseurs et prestataires de son choix. Il supportera donc l’intégralité des taxes sur ses achats sans pouvoir les récupérer. En France, ces taxes sont de 20%. Une entreprise assujettie à la TVA perçoit, calcule, verse puis récupère les taxes.

L’artiste qui reçoit des fonds via un site de crowdfunding devra donc payer des impôts personnels sur ces sommes assimilées à des revenus et, d’autre part, subira une autre imposition sur tout ce qu’il achètera puisqu’il ne pourra pas récupérer les taxes qu’il aura payé.

Rappelons aussi que si un artiste décide, par exemple, d’employer des amis musiciens et de leur faire des cachets, il devra effectuer de nombreuses démarches auprès des divers organismes sociaux, il pourra éventuellement passer par un guichet unique, être identifié comme employeur puis déclarer et verser les salaires et les cotisations afférentes… C’est bien beau de lever des fonds via un site de crowdfunding à la mode mais il reste de nombreux obstacles à franchir après avoir obtenu le financement désiré. Du coup, la plupart des projets ne sont pas correctement ficelés, présentent des zones d’ombre et, finalement, fragilisent les actions tout en épuisant les artistes.

Il y a d’autres risques à mesurer avant de s’afficher en direct sur un site de crowdfunding à la mode. Des risques qui n’ont rien à voir avec la fiscalité, les déclarations de revenus, de BIC, de BNC, de TVA, les déclarations sociales, etc… Il faut aussi penser à l’image que l’on donne. Certes, il faut être optimiste… mais cela n’exclut jamais l’échec. Difficile pour un artiste d’afficher un échec de levée de fonds. Est-ce que cela veut dire que ce qu’il propose n’est pas « bon » ? Au bout de quelques dizaines de jours, son projet disparaît… Il n’est plus côté… Il risque même une dévaluation. Sur Juste Une Trace, nous ne pensons pas que le traitement d’un projet, notamment culturel, puisse s’effectuer de la sorte.

En résumé, les sites à la mode de crowdfunding n’évoquent généralement pas ces sujets. Pour Juste Une Trace, le simple fait d’évoquer ces réalités, confirme le bien fondé de notre démarche : le financement participatif devient très logique et utile.

Notre structure perçoit des fonds, verse une TVA sur les participations effectives, récupère la TVA sur les dépenses, gère les projets et, plus globalement, effectue toutes les déclarations obligatoires ainsi que le suivi comptable.

 

Le financement participatif sur Juste Une Trace

Communément, le crowdfunding (« financement par la foule ») est un mécanisme qui permet de récolter des fonds, souvent de petits montants, auprès de nombreuses personnes afin qu’elles participent au financement d’un projet.

Sur Juste Une Trace, les besoins en financement ne sont pas uniquement nécessaires pour enregistrer un album ou encore monter une tournée. Les besoins peuvent être beaucoup plus variés. La plupart des projets, par exemple, une fois réalisés, doivent être communiqués. Le financement participatif sur Juste Une Trace peut tout à fait proposer la prise en charge d’actions de communication, de showcases, la simple diffusion d’un communiqué de presse ou la réalisation de supports promotionnels comme des flyers puis la distribution de ces derniers. Dans l’absolu, le financement participatif pourrait aussi permettre de créer et sécuriser des emplois.

Les projets présentés par Juste Une Trace ne sont pas nécessairement liés à des artistes ou porteurs avec qui nous travaillons déjà. Nous restons ouverts et disponibles. Par contre, nous sélectionnons les projets car nous sommes, dans tous les cas, associés à leur développement. Notre travail ne s’arrête pas à la recherche de financement ou à la mise à disposition d’un outil de collecte de fonds. Nous gérons les sommes disponibles et engageons des actions.

Nous avons aussi la possibilité, grâce à cet outil, de tout simplement présenter des projets et participer à leur promotion. Même s’ils ne sont pas directement liés à nos activités, si nous les trouvons «générateurs de bonnes choses»,  nous pourrons les sélectionner et en parler. Après tout, les «hypercrowdfunders» (plateformes de financement participatif qui ne proposent qu’une intermédiation) ne sont pas les seuls à pouvoir créer des liens et utiliser Paypal.

Il est vrai que nous n’annonçons pas de commission fixe de …% pour nous sur les fonds collectés. Cet exercice serait trop difficile et surtout inadapté. Pour nous, le travail commence toujours avant la mise en ligne puisque nous étudions les projets, les budgets, les partenaires envisagés, la faisabilité… De plus, et c’est important, les relations entre Juste Une Trace et les artistes ou les porteurs de projets ne sont pas virtuelles : le contact est réel, on se parle et on trouve un accord distinct propre au projet.

Dans certains cas, nous n’appliquerons aucune commission. Dans d’autres cas, elle sera énorme ! Dans tous les cas, les situations sont toutes différentes et c’est pour cela que nous refusons d’appliquer le même traitement et les mêmes conditions aux artistes et porteurs de projets qui nous sollicitent.

Nous ne pouvons pas garantir à 100% l’affectation pleine et entière des fonds reçus au projet initial que vous soutenez. Nous avons le droit de faire des économies si cela n’affecte pas la réalisation du projet. Par contre, nous avons l’obligation de gérer au mieux les fonds et, si nécessaire, de dépenser plus pour créer de nouveaux liens et de nouvelles passerelles entre les artistes, les porteurs de projets, les contributeurs… Si l’affectation diffère grandement, vous serez informés et vous pourrez alors choisir une nouvelle affectation, un bon d’achats ou un remboursement. Les projets évoluent en permanence et de nouveaux besoins peuvent apparaître à tout moment. Il est donc plus prudent de le savoir avant de soutenir un projet que nous vous présentons.

Enfin, sachez que le crowdfunding ne dispose pas d’un statut vraiment réglementé (et c’est peut-être mieux ainsi), mais si vous avez besoin d’une information supplémentaire sur le financement participatif, n’hésitez pas à nous contacter. Dans tous les cas, si vous avez des hésitations, vous pouvez facilement nous joindre et vous renseigner pour mieux vous engager. À cet effet, nous mettons, au fur et à mesure, à la disposition de tous, des articles dans notre blog que vous pouvez lire, commenter et partager.

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