Juste une Trace

jazz

ONE PAGE, un album signé HABOYAN PALLARO

Avec plus d’une trentaine d’années baignées dans le jazz dont plus de la moitié sur des projets communs, les compositeurs Didier Haboyan et Claudio Pallaro affirment leur passion sincère et offrent avec « ONE PAGE » un album imprévisible. Les voici en quintet pour nous présenter un répertoire original disponible le 21 octobre 2022.

Haboyan / Pallaro c’est la rencontre de deux musiciens aux parcours singuliers.
On retrouve dans leur musique toute sortes d’influences : le rock et le jazz, la musique classique, africaine, indienne, les compositeurs contemporains…tout ce qui nourrit le jazz d’aujourd’hui.

De 2009 à 2019, on les retrouve dans le grand ensemble Pee Bee, co-dirigé par Claudio Pallaro et Gary Brunton (Night Bus). Toujours animés par l’envie de jouer ensemble, Claudio et Didier poursuivent leur collaboration et initient le projet One page, qui révèle deux personnalités, deux approches différentes mais un même langage. Ils forment d’abord un quartet sans instrument harmonique (deux saxophones, contrebasse, batterie) qui devient quintet avec vibraphone.

Pourquoi « ONE PAGE » ? Chacune des compositions de l’album tient sur une seule page…ou presque. Pour les artistes, c’est aller à l’essentiel avec spontanéité et créativité.

Didier Haboyan – saxophone alto, flûte
Claudio Pallaro – saxophone ténor
David Patrois – vibraphone
Hubert Dupont – contrebasse
Julien Charlet – batterie

pour en savoir plus sur les artistes

Enregistré, mixé par Paul Boulier | Studio Libretto
Mastering : Raphaël Jonin
Photographie : Marco Castro
Design : Jérémie Bernard
Production : Jazz en Face

Pallaro et son compère Haboyan signent avec « ONE PAGE » un album aux compositions mélodiques, une musique subtile et captivante avec un répertoire mâtiné de styles et d’influences diverses.

Hong est un grand film signé Arteskor Orkestra

Avec ARTESKOR ORKESTRA, formation en tentette, Laurent Bonnot revisite le Big-Band de Jazz en remplaçant ses trois pupitres traditionnels par des instruments au timbre plus «doux». Ainsi, la flûte et le hautbois prennent la place des trompettes; la clarinette, le saxophone soprano et la clarinette basse se substituent aux saxophones; les cors remplacent les trombones. Il unit la puissance orchestrale du big band au timbre feutré du quintette à vent, rassemblant ainsi ses deux passions, le jazz et la musique classique.

La musique, très écrite, emprunte au courant «impressionniste» français du début du XXè siècle, et l’on devine aisément la présence de Debussy ou de Ravel dans quelques sentiers empruntés. Le contrepoint, les techniques de compostions plus modernes, comme le palindrome musical, ainsi que l’apport de la forme Sonate – bithématisme, trithématisme – sont le fondement de l’orchestre, mais s’agissant avant tout d’un Big-Band, la corrélation avec le jazz reste prédominante. La notion de chorus étant indissociable du Jazz, la mise en valeur d’un soliste se fait par le biais de l’improvisation, généralement sur des grilles harmoniques très modulantes et souvent dans des métriques impaires. On ressent une forte volonté de la part de Laurent Bonnot de casser les codes compositionnels traditionnels.

HONG comporte huit compositions originales surprenantes. Plus d’une heure de création musicale durant laquelle des courts métrages se succèdent, des histoires qu’on redécouvre à chaque écoute, pour finalement faire de HONG un grand film.

L’album HONG d’Arteskor Orkestra est disponible dans notre boutique

Le Jazz, une énergie pure et renouvelable

Nous sommes dans les années 80. Le compositeur et musicien Georges Beckerich garde des souvenirs très forts de ses premières années d’initiation au jazz, de cet apprentissage d’une musique qui lui est tout de suite apparue comme essentielle, existentielle.

Georges Beckerich a fait ses premiers pas dans la classe de jazz du Conservatoire de Marseille dirigée par Guy Longnon. Son premier rendez-vous avec lui était surréaliste. Il nous le raconte.
« Je me retrouve devant un petit bâtiment en métal, avec un toit en tôle ondulée, comme un préfabriqué de chantier, au milieu de la cour. Guy est en retard. Quand il arrive et ouvre la salle, je vois des instruments de musique, batterie, amplis, piano au centre. Sous le piano, une flaque d’eau. Et dans la flaque d’eau, un rat mort, pattes en l’air, sur le dos. Nous sommes plusieurs à passer l’audition d’entrée. Au moment où Guy m’appelle, le verre de ma montre explose…si c’est cela l’enfer, je veux bien y aller ! »

Georges Beckerich exprime très clairement les raisons de son attrait pour le jazz et les musiciens sont nombreux à penser comme lui. Voici ses principales sources de motivation que nous partageons avec le plus grand nombre :

  • – avoir la liberté d’agir sur tous les aspects harmonique, rythmique et mélodique,
  • – définir de nouvelles règles en fonction des « climats » des standards,
  • – écouter les autres musiciens et être écouté par eux seconde après seconde,
  • – inventer, composer, arranger et toucher des instants de grâce où l’improvisation individuelle ou collective nous amène à une complicité et une complémentarité artistique qui aiguise tous les sens. En pleine conscience !

Pour Georges Beckerich, le Jazz, c’est de l’énergie pure et renouvelable.

  • Vous voulez nous joindre ?

    pour votre projet, pour avoir des informations, pour un partenariat ...