Juste une Trace

jazz

Les influences de Laurent Bonnot

Le compositeur et bassiste Laurent Bonnot n’a pas la volonté de se rattacher à un courant musical particulier. Sa musique est une fresque qui présente des paysages variés, libres et faciles d’accès, dans la famille du Jazz.

Aquarelles et peintures à l’huile se succèdent pour soutenir une écriture toujours fine et délicate, qu’il interprète librement en compagnie de Marc Copland au piano, Ramon lopez à la batterie et Gueorgui Kornazov au trombone. Sans pour autant vouloir se comparer aux grands compositeurs français du début du XXème Siècle, Laurent Bonnot qualifie son nouvel album d’Impressionniste.

Les Nymphéas de Claude Monet – le bassin de nénuphars à Giverny – Photo Edith Gaudy

« Mes influences, j’en ai évidemment. Au niveau de mon instrument, il y a juste deux bassistes qui me parlent : Steve Swallow et Carles Benavent.
J’en admire beaucoup mais au niveau de mon esthétique, il y a juste ces deux là. Sinon mes références sont des saxophonistes (Bob Berg, Chris Potter…) et des guitaristes (Abercrombie, Frisell, Nguyen Lê…..)

Les Nymphéas de Claude Monet – le bassin de nénuphars à Giverny – Photo Edith Gaudy

« Je n’ai pas écrit SONGS FOR OSCAR en pensant à une esthétique particulière mais plus en terme de composition. Les thèmes de fin sont souvent des palindromes du thème, il y a beaucoup de changement de tonalités, souvent un par mesure. Il y a également beaucoup de métriques impaires et d’équivalence rythmique.»

Not The Bakerloo Line, origine d’une oeuvre et sa vidéo

Not the Bakerloo Line est une oeuvre de Georges Beckerich qui figure sur son album TOUPIA.

« Au début, il s’agissait d’une proposition musicale faite à Eddy Louiss pour faire renaître un groupe avec des soufflants après la dissolution de sa fanfare dont j’avais fait partie. Le morceau m’était inspiré par un pari débile entre 2 copains pour déterminer lequel du métro où du taxi allait plus vite d’un point A à un point B.»

« Transposant l’histoire à Londres, j’ai choisi ce titre absurde qui m’ a été soufflé par Argane et qui, au pays des Monty Python’s Flying Circus ne dénoterait pas. Dans le feu de l’action, j’ai aussi fait un clin d’oeil à une scène mythique du film « les ailes du désir » de Wim Wenders, celle où l’ange déchu traverse le métro de Berlin, entend les pensées de certains voyageurs désespérés et en les touchant leur donne du courage …en fait, ils changent d’attitude et voient des possibilités pour s’en sortir- c’est la raison pourquoi j’ai gardé les deux solos de trompette en même temps comme si j’évaluais mes humeurs contradictoires. Faudrait revoir cette scène ! »

Georges Beckerich a également réalisé la vidéo de ce titre à partir d’images qu’il a lui-même filmées à bord d’un train, le Bamboo Train de Battambang au Cambodge. Dépaysement assuré !

Vidéo officielle de NOT THE BAKERLOO LINE (Georges Beckerich). Titre extrait de l’album TOUPIA

Georges Beckerich – Trompette, effets sonores et instruments divers
Alexis Drossos – Saxophones, didgeridoo, becophone
Philippe Lapeyre – Trombone
Yasuhisa Yamamoto – Batterie, percussions

Video design et direction par Georges Beckerich
« The Bamboo Train » – Battambang – Cambodia 2019

Produit par G.B. pour Juste Une Trace
Éditions Amoc
Enregistré par G.B. et Yasuhisa Yamamoto
Mixé and masterisé par Jonathan Marcoz
Photographie par G.B.
Artwork «TOUPIA» par G.B. et Corinne Garino

℗ 2015-2019 – Georges Beckerich © 2020 – Juste Une Trace – AMOC

La Team du Pee Bee

Claudio PALLARO
Co-fondateur du Pee Bee. Italien, né à Genève, il commence le saxophone dans une harmonie avant de se tourner vers le jazz. Il s’envole ensuite pour les États-Unis où il se forgera une solide formation de compositeur, arrangeur et saxophoniste, étudie avec George Garzone, Ed Tomassi et Jerry Bergonzi au sein de la Berklee College of Music à Boston.

Depuis son retour en Europe, il multiplie les collaborations en tant que compositeur et arrangeur, dans des contextes musicaux multiples allant du trio jazz au grand orchestre de salsa. Il a notamment travaillé avec le groupe « Dis bonjour à la Dame », groupe phare de la scène acid Jazz. Désireux de renouer avec le rôle de soliste, il fonde son trio en 2010. En 2018 il forme le Pallaro-Haboyan 4tet avec Hubert Dupont et John Betsch.

Gary BRUNTON
Co-fondateur du Pee Bee. Il est né à Burnley, dans le nord-ouest de l’Angleterre. Il découvre la basse à 15 ans, séduit par le jeu de Jean-Jacques Burnel (The Stranglers). En 1986, il est à l’université de Swansea (Pays de Galles). Il a 18 ans et rencontre des musiciens comme Jonathan Lewis et Russ Jones puis découvre la musique de Joe Henderson, Bill Evans et le jeu des contrebassistes George Mraz et Ron Carter.
Fin des années 80, il étudie au CIM (Paris). En cours, il rencontre Pierre Christophe, Daniel Garcia Bruno et Bojan Zulfikarpasic. Gary Brunton s’installe définitivement en France. Il étudie la contrebasse classique avec Thierry Barbé au conservatoire du 12ème de Paris. Il joue dans le premier quartet de Noël Akchoté, avec Julien Lourau et François Merville. Il joue aussi en trio avec Michel Graillier. Il prend des cours particuliers avec Henri Texier, Pierre Michelot, Dave Holland, Gary Peacock et Ray Brown.
En 1993, il forme un trio avec Édouard Ferlet et Gregor Hilbe. Ce trio devient le Upper Space Group (USG) avec Stéphane Belmondo et François Théberge. En 1996 il remporte le 3ème prix de soliste au concours national de la Défense. En 1997, Gary Brunton se met à composer et monte un quartet avec Jean-Charles Richard au saxophone baryton/soprano, Johan
Renard au violon et Laurent Bataille à la batterie. Ce quartet devient ensuite un sextet, Brunt’Off, avec Éric Löhrer à la guitare et Édouard Ferlet aux claviers. Frédéric Norel et Luc Isenmann remplacent respectivement Johan Renard et Laurent Bataille. En 2005 il enregistre « Believe in Jazz » avec la chanteuse américaine Sheila Jordan. Depuis 2010, il s’est produit notamment en tant que sideman avec Scott Hamilton, Jim Rotondi, Ralph Moore, Joe Magnarelli et Jesse Davis. En 2016 il effectue une tournée en Chine et en Egypte avec le batteur japonais Ichiro Onoe. En 2019, il compose l’excellent album
Night Bus avec Bojan Z et Simon Goubert.

Sandrine DESCHAMPS
Cette parisienne aux origines gitanes, commence la musique en autodidacte et découvre le chant lyrique à l’âge de 14 ans. Après avoir tenu les rôles de Pamina dans la « Flûte enchantée » de Mozart et d’Azzucena dans « le Trouvère » de Verdi, elle se dirige vers la pop et la soul. Elle découvre le jazz lors de sa première séance de studio, avec Arthur Simms. Elle intègre ensuite le CIM à Paris où elle apprend l’harmonie avec Jean-Claude Fohrenbach, le scat avec Laurence Saltiel et travaille en Big Band sous la baguette d’Yvan Julien et Tito Puente. Elle enregistre un premier album sous son nom en 1996 avec son 4 tet, et se produira à Jazz in Marciac, entre autres. Elle écrit également des textes sur ses propres compositions originales ou pour d’autres collaborations et participe à de nombreux enregistrements. Elle «habille» notamment les mélodies de Cyril Achard avec Antoine Banville, et participe au projet « Brunt’off » de Gary Brunton.

Jérémie BERNARD
Ce trompettiste originaire d’Alsace a commencé à étudier la musique très jeune en intégrant différentes formations : harmonie tout d’abord puis orchestre philharmonique par la suite. Se dirigeant vers des études supérieures de design à Paris, il continue la musique en parallèle, se rapproche du jazz et des musiques actuelles avant d’être sollicité pour intégrer puis diriger la fanfare de l’école. La fanfare devient « Haut Débit » et se produit notamment au Théâtre de la Ville ou encore à France Culture. Il étudie auprès de Sylvain Gontard qui l’introduit dans divers orchestres de jazz, dont le PEE BEE. Il participe à de nombreux projets, très diversifiés; du reggae avec le groupe « Sundyata » au jazz en passant par le funk, l’électro ou encore la musique du spectacle « In between ». Il poursuit ses activités de designer et est notamment consultant pour le fabricant de saxophones Henri Selmer.

Didier HABOYAN
Ce saxophoniste, flûtiste et clarinettiste est parisien. Élève buissonnier des conservatoires, il sera vite happé par le sillage de Charlie Parker, John Coltrane et Ornette Coleman. Ses racines bop, son feeling blues si personnel et son sens de la liberté lui font aborder toutes sortes de musiques.
Il joue dans la Fanfare « Banlieues Bleues » et « Urban Sax » mais aussi en trio avec Norbert Lucarain et Hubert Dupont, au sein du groupe « Altissimo » avec Christophe Marguet ou Philippe Sellam. Il est membre du quartet de J.C Oleksiak, qui invite successivement Alain Jean-Marie, Eric Barret et François Théberge. On peut l’entendre dans différents enregistrements, notamment sur « Point de vue » avec Sergio Gruz. Il fait partie du groupe de Eddie Allen, avec notamment Katy Roberts et Rasul Siddik. Depuis 2018, il mène le Pallaro-Haboyan 4tet avec Hubert Dupont et John Betsch.

David PATROIS
Français aux racines africaines, il suit une formation classique en tant que percussionniste avant de se consacrer entièrement au vibraphone. Il s’envole alors pour les Etats Unis afin d’ étudier avec le grand vibraphoniste Gary Burton à la Berklee College of Music à Boston. De retour en France, il joue et enregistre avec Daniel Humair, Aldo Romano, Emmanuel Bex, ou encore Mark Turner.
Il enregistre un premier album sous son nom en 1997 « Attraper le temps » et fonde le groupe Another trio. Il est à la tête de « Trio +2 » et joue dans le medium ensemble de Pierre De Bethman, nominé aux victoires du jazz en 2019.

Gilles RELISIEUX
Il débute la trompette à 12 ans. L’année suivante, il intègre un petit orchestre de dixieland dirigé par Roger Guérin. Après la classe de Roger Delmotte au conservatoire de Versailles, dont il sort avec un premier prix de trompette, ce même Roger Guérin, l’engage dans son big band professionnel. S’ensuivent des collaborations multiples, au sein du big band de Jean Jacques Ruhlmann avec lequel il jouera en première partie de John Scofield et Pat Metheny; ou encore avec « Bakano », le groupe de salsa dirigé par Laurent Guanzini. C’est un véritable «touche à tout», qui affectionne tous les styles et toutes les tailles d’orchestre, compositeur, pédagogue, Soundpainter certifié, il travaille régulièrement avec Walter Thompson. Il joue dans le spectacle « Novecento » avec André Dussollier depuis 2014, Molière 2015, dans Jazzy Poppins avec le Laurent Mignard Duke Orchestre depuis 2017, Victoire du Jazz 2016, au théâtre du Châtelet avec le LMDO, Jean Luc Ponty, John Surman et Sanseverino.

Eric DESBOIS
Ce saxophoniste atypique, originaire de La Rochelle, commence le jazz en autodidacte en 2000, à l’âge de 35 ans. Il entre alors au CIM, à l’EDIM puis au conservatoire de Noisiel. En 2002, il remporte le tremplin  » Esprit Jazz » avec le groupe S-Mos. C’est un musicien aventureux, fantaisiste qui joue de son saxophone baryton au sein de nombreuses formations : le Spoumj de François Jeanneau, l’ORA d’Alain Vankenhove, L’African Celtique Band ou encore Ping Machine. Par ailleurs, depuis 2003, il travaille régulièrement le Soundpainting avec Walter Thompson.

Luc ISENMANN
Il commence la batterie à l’âge de 9 ans puis intègre le conservatoire de Strasbourg. Du jazz au rock en passant par le classique, ce touche à tout participe également à des créations de musique contemporaine, avant de s’installer à Paris en 1994 et d’intégrer le C.N.S.M. Il se forme auprès de Daniel Humair, François Jeanneau, Hervé Sellin ou encore Jean-François Jenny-Clark. Il quitte le CNSM avec un premier prix de Jazz en 1997, obtient un premier prix de soliste au concours d’Avignon ainsi qu’au concours de la Défense avec le groupe Kassalit. Il est membre du David Patrois trio+2 et on a également pu l’entendre aux côtés de Jacky Terrasson, Ricky Ford, Aldo Romano, François Jeanneau, Laurent Mignard Pocket Quartet pour n’en citer que quelques-uns.

Vincent RENAUDINEAU
Originaire de Nantes, il commence le trombone à l’âge de 8 ans et suit une formation classique aux conservatoires de Nantes puis de Boulogne Billancourt. Il part ensuite aux Pays-Bas pour étudier le jazz au conservatoire de La Haye. Il s’installe dans ce pays pendant 8 ans et s’y produit avec Jim Mc Neely, Bobby Shew, Bob Florence, Graham Collier ou encore Maria Schneider. Basé à Paris désormais, il travaille avec Red Star Orchestre et la chanteuse Olivia Ruiz et joue dans différents orchestres allant du septet de latin jazz « Vibones » au « Gros cube » d’Alban Darche, entre autres.

Daniele ISRAEL
Cet italien, tromboniste de son état, est diplômé du Conservatoire de Milan et médaille d’or du CNR de St Maur.
Sa maîtrise de la technique classique lui a permis d’intégrer des formations symphoniques comme l’Orchestre Colonne, l’Opéra de Massy ou l’orchestre Philharmonique International et de se produire dans les salles les plus prestigieuses de Paris. Son sens du phrasé et ses qualités d’improvisateur, en font un disciple recherché tant en jazz (Jean-Loup Longnon Big Band, Red Star Orchestra, Eddy Louis, Tentet au Carré), qu’en musique latine (Juan Carlos Caceres, Raul Paz).

Frédéric LOISEAU
Ce tourangeau s’est en partie formé aux Etats Unis au « Guitar Institute of Technology » de Los Angeles auprès de Joe Pass et Joe Diorio. De retour en France, il continue de se perfectionner auprès de Dave Liebman et John Abercrombie. Son jeu élégant et sensible fait merveille au sein de différentes formations et l’amène à jouer avec Daniel Yvinec, Jimmy Wyble ou encore Nelson Veras. Il enregistre un premier album en duo avec le pianiste Carlton Schroeder en 2007, salué par la critique et nominé aux Django d’Or puis en 2014, Smile en trio avec Benoit Sourisse et André Charlier. En 2016, il est guitariste et directeur artistique en compagnie de Guillaume de Chassy pour le projet « la bonne chanson » avec Nathalie Dessay et Laurent Naouri, concert au Théâtre des Champs Elysées. En 2017, il joue avec Sheila Jordan et Gary Brunton. En 2018, il est directeur artistique du projet piano solo de Guillaume de Chassy « pour Barbara ». Il travaille également avec le chanteur Laurent Naouri.

C’est l’équipe qui joue sur l’album OR NOT TO BE du PEE BEE

Dew Drops in My Heart, l’histoire d’une oeuvre et la vidéo

Dew Drops in My Heart est la porte d’entrée de l’album TOUPIA de Georges Beckerich.
Qu’est- ce qui nous motive vraiment, quelle est notre raison d’être, et d’une manière plus générale, quel est le « master plan » ? Voici les deux éléments déclencheurs selon l’artiste pour Dew Drops in My Heart :

1 – À Berlin, pour ceux qui connaissent, Tacheles, un immeuble éventré en partie par des bombes de la Seconde Guerre mondiale, était géré par un collectif d’artistes, d’alternatifs qui squattaient ces espaces laissés à l’abandon, C’était devenu un symbole de créativité… Dans la cour, un avion, probablement un petit Messerschmit, en partie enseveli sous terre comme s’il s’était écrasé, et une série de cadres métalliques de pianos, dénudés, fichés dans le sol verticalement comme des harpes… J’avais ramassé des bâtons de bois et tapé sur les cordes (désaccordées!) pendant quelques minutes sans me rendre compte que des passants affluaient, m’écoutaient… et m’applaudissaient à la fin. J’avais pris la précaution d’amener mon MD recorder et j’étais retourné le lendemain enregistrer ces sons insolites. J’ai retenté cette expérience tout au long du morceau, mais avec des sons midi, en remplaçant les bâtons par des mouvements aléatoires de la souris d’ordinateur sur le clavier virtuel…

2 – Mon ami Alexis Drossos, saxophoniste, m’avait annoncé par téléphone qu’il allait se faire opérer du cœur – intervention délicate et risqué. Je lui ai téléphoné quelques jours plus tard en lui annonçant que j’avais besoin de lui pour mon nouvel album …

Dew Drops in My Heart est un hymne à la vie, à l’amitié, à la force de la créativité partagée. J’ai voulu montrer que, bien que nous ne sachions jamais ni comment ni pourquoi est apparue la vie en nous, nous avons une chance incroyable d’apprendre, de faire des choses nouvelles ensemble, de mourir et de renaître… parfois avec un nouveau cœur ou un corps différent… ou vice-versa !

Au début du morceau, le souffle de la vie apparaît, le cœur se met à battre dans un environnement inconnu où se passent des choses incompréhensibles. Peu à peu, les sens s’éveillent. La trompette et le sax font un chemin ensemble, tout semble maîtrisé… puis tout s’arrête… et çà recommence, une renaissance, des balbutiements de bébé (joués à l’embouchure ) …

Vidéo officielle de DEW DROPS IN MY HEART (Georges Beckerich). Titre extrait de l’album TOUPIA

Georges Beckerich – Trompette, effets sonores et instruments divers
Alexis Drossos – Saxophone tenor
Yasuhisa Yamamoto – Percussions

Video design et direction par Georges Beckerich
Produit par G.B. pour Juste Une Trace
Éditions Amoc
Enregistré par G.B. et Yasuhisa Yamamoto
Mixé and masterisé par Jonathan Marcoz
Photographie par G.B.
Artwork «TOUPIA» par G.B. et Corinne Garino

℗ 2015-2019 – Georges Beckerich © 2020 – Juste Une Trace – AMOC

LA VIDÉO GENESIUM

Une vidéo en STOP-MOTION pour « Genesium » du PEE BEE. Le titre composé par Claudio Pallaro se trouve sur l’album OR NOT TO BE. La couleur de cette composition est toute particulière et presque osée : jazz + rock progressif des 70’s/80’s se superposent et pourtant… le résultat n’est vraiment pas pénible (ah ah ah). Il y a de l’enthousiasme et du bonheur ici. Comme son nom l’indique, la composition est un clin d’œil à Genesis du grand ensemble (12 artistes).

Vidéo produite et réalisée par Paul Bessone pour Juste Une Trace
Assisté par Jean Bessone
GENESIUM – Éditions Amoc
Enregistré et mixé par Yohan Progler pour Jazz En Face
Masterisé par Raphaël Jonin
Video Design par Thibault Joyeux
Photographie par Nathalie Courau-Roudier
Artwork « Or Not To Be » par Jérémie Bernard

Pee Bee est membre de la fédération Grands Formats

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