Juste une Trace

Laurent Mignard

Duke Ellington Sacred Concert

Pour célébrer le quarantième anniversaire de l’héritage de Duke Ellington, Laurent Mignard Duke Orchestra et Mercedes Ellington (petite-fille du Maestro) ont présenté le « Duke Ellington Sacred Concert » le 1er octobre 2014 à Paris. Comme le rappelle Mercedes Ellington, son grand-père a toujours considéré que ses concerts sacrés étaient son œuvre la plus importante. Selon elle, « il aurait été conquis par la magie de la direction de Laurent Mignard ».

sacred-concert_front_LMDO_JuTFilmé et enregistré devant plus de 1200 personnes réunies à l’Église de La Madeleine, le concert évènement présente « une musique suprêmement originale, irrésistiblement forte et inoxydable, hors des modes et du temps, absolument universelle. Le Duke Orchestra, ses grands solistes et les vocalistes réunis par Laurent Mignard comptent parmi les seuls au monde à savoir et à pouvoir la transmettre. »  – Claude Carrière.

Initiés et néophytes sont emportés par la dream-team du Duke Orchestra. Emmanuel Pi Djob qui avait ébloui le jury de «The Voice» avec sa voix de baryton forgée au feu du gospel afro-américain, Nicolle Rochelle, formée sur les planches de Broadway, Sylvia Howard, tombée dans la marmite du gospel avant d’atterrir les deux pieds dans le jazz et Fabien Ruiz, le célèbre tap dancer qui a notamment coaché Jean Dujardin dans «The Artist», sont réunis pour célébrer le Duke, soutenus par l’ensemble Les Voix en Mouvement et plus de 120 choristes.

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Duke Ellington Sacred Concert à La Madeleine

Duke Ellington considère ses concerts de Musique Sacrée comme ce qu’il a fait de plus important.

En cette année du Duke, pour célébrer le cent quinzième anniversaire de sa naissance et/ou le quarantenaire de sa disparition ou plus simplement pour célébrer l’héritage du maestro, à la demande du Duke Ellington Center for the Arts présidé par sa petite fille Mercedes Ellington, Laurent Mignard Duke Orchestra présente un concert exceptionnel à Paris le 1er octobre 2014 à l’église de La Madeleine.

Plus de 80 artistes sur scène !

Le chanteur Emmanuel Pi Djob, les vocalistes Nicolle Rochelle et Sylvia Howard, le tap dancer Fabien Ruiz et 80 choristes dirigés par Michel Podolak vont côtoyer les musiciens du Big Band. Les mots du Duke seront mis en scène et portés par Mercedes Ellington en personne. Sous la direction de Laurent Mignard, les artistes vont nous offrir une œuvre majeure et poignante pour tous les publics. «Praise God», «The Lord’s Prayer», «It’s Freedom» … nous y serons !

Ce concert sera-t-il enregistré ???

… à suivre

Electronique et minimalisme pour une nouvelle production de Geoffrey Secco !

L’album n’est pas encore réalisé mais nous pouvons dès à présent en parler et vous mettre l’eau à la bouche. La production du nouvel album du compositeur et saxophoniste Geoffrey Secco a débuté. Geoffrey Secco signe toutes les compositions qu’il confie à l’arrangeur improvisateur électroacousticien Stéphane Bissières avant de faire intervenir Ichiro Onoe à la batterie, Gaël Petrina à la basse et Rossitza Milevska à la harpe.

Geoffrey Secco, musicien habitué des plus grandes scènes et des grosses productions (Robbie Williams, Charles Aznavour…) a choisi de s’exprimer ici dans un chant intimiste, organique et monastique : du souffle, des bruits de clés, des nuances fragiles. Les notes sont tréfilés, la tension n’est pas cherchée dans la virtuosité mais dans la texture. L’émotion est nue, subtile.

L’album est l’aboutissement de quatre ans de travail, de rencontres et de voyages. Geoffrey Secco a composé la plupart des musiques en Australie, face à l’océan. Il présente une dualité entre mondes urbains et racines panthéistes. Cette dualité s’exprime par le choix de l’instrumentation, d’une part résolument acoustique mais qui emprunte les codes de la musique électronique (répétition, minimalisme, évolution des timbres, harmonies simples), d’autre part résolument électronique mais bien vivante, créée en temps réel à l’aide de processus analogiques (le «numérique vivant» de Stéphane Bissières).
Les rôles des instruments peuvent aussi être renversés : le sax murmure des accords, la contrebasse crée des mélodies étirées, aigues et lointaines, tandis que la harpe joue une basse étouffée.

C’est un album de Jazz pour la liberté offerte aux musiciens, un album de musique minimaliste pour l’usage de la répétition comme technique de composition. C’est aussi un album de musique électronique par l’apport de sons de la vie courante et d’échantillonneurs.

Geoffrey Secco joue sur l’album «GOOD NEWS» du Laurent Mignard Pocket Quartet

Good news_front

un «vendredi 13» avec les dieux et les démons !

Depuis plusieurs siècles, la combinaison du «vendredi» et du «13» symbolise l’infortune et des fois même le drame. Le 13 est « maudit » alors que le 12 est « divin » (les 12 dieux de l’Olympe, les 12 signes du zodiaque, les 12 travaux d’Hercule, les 12 apôtres… il y a 12 mois par an, 12 heures par jour et 12 heures par nuit…). Que reste-t-il au 13 et de surcroît au vendredi 13 ?

Rassurez-vous ! Le vendredi 13 n’est pas un jour d’infortune pour tous. Pour les Espagnols, les Grecs ou en Amérique latine, c’est généralement le mardi 13 qui fait peur. Pour les Italiens, c’est le 17 qui fait flipper et non le 13. En Asie, on a peur du 4 dont la prononciation (shi) est identique à celle du mot « mort » en mandarin, en cantonais, en japonais…

Le vendredi 13 de l’année 2014, Juste Une Trace est indirectement impliqué dans 2 soirées divines. L’une à l’Olympia, peut-être en compagnie des dieux. L’autre à l’Ubu, peut-être avec les démons.

Si vous vous trompez de soirées, vous risquez de le regretter… En fait, Juste Une Trace est peut-être le seul point commun entre ces 2 soirées. Du metal indus et un peu trash d’un côté. Du jazz et de l’humour de l’autre.Laurent Mignard_DO_Jean-Baptiste Millot (moyenne déf)2Evil-Music-For-Evil-People-TREPONEM PAL by Barouf 2013

Treponem Pal à l’Ubu et Laurent Mignard Duke Orchestra avec Pierre Richard à l’Olympia.

L’affiche de ce vendredi 13 résume assez bien la ligne éditoriale de Juste Une Trace : de l’ouverture d’esprit, de l’impertinence, des passionnés, du divertissement, et surtout des artistes qui vont jusqu’au bout. Clown éternel, Pierre Richard fait donc son premier Olympia… vendredi 13 ! Ce génie de l’humour est accompagnée en musique par le Laurent Mignard Duke Orchestra. La soirée sera pleine de surprises et des gaffes. Pierre Richard interprète des scènes drôles et savoureuses, avec en prime, la participation d’invités prestigieux et notamment PEF, Alex Lutz… .

Rockeurs jusqu’au bout des ongles, Treponem Pal fait son Ubu vendredi 13 ! Le fer de lance du Rock Indus s’affiche avec les Tad Girls Squad pour un show décadent proche de l’imaginaire. Ultimhate et Dj Poch se joindront à eux jusqu’à 3h00, avec en prime, une sélection de clips concoctée par les activistes cinématographiques du Fist… .

3 manières de célébrer Duke Ellington

Soutenu par le «Duke Ellington Center For The Arts» présidé par Mercedes Ellington, Laurent Mignard dirige actuellement 3 programmes exceptionnels pour célébrer le Duke.

L’œuvre de Duke Ellington est sans doute l’un des plus importants héritages culturels du 20ème siècle. Il s’agit d’un art pour tous, un art populaire. Sa musique s’écoute dans la rue, au château, dans la nuit, au soleil,  dans la foule ou en toute intimité. Elle se danse, elle se chante, on la sifflote, en solo ou en compagnie. Elle peut aussi nous toucher, nous saisir ou simplement nous effleurer.

Le chef d’orchestre, musicien et compositeur Laurent Mignard a bien compris toutes ces caractéristiques. Il est devenu au fil du temps un véritable expert Ellingtonien au service du maestro. À la fois chercheur et ouvrier, Laurent Mignard élabore des programmes et se donne les moyens de diffuser sa passion. Avec son Duke Orchestra, il est la référence internationale qui fait vivre l’œuvre d’Ellington. Pour lui, « Duke Ellington Is Alive» ! Et c’est avec trois programmes différents qu’il sera prochainement à l’affiche.

LMDO_LM-Duke-_Pascal Bouclier«DUKE ELLINGTON, MUSIQUE SACRÉE ET GOSPEL», le 20 Mai 2014 à l’Eglise Saint-Sulpice (75) dans le cadre du Festival Jazz à Saint-Germain-des-Prés avec le Duke Quintet, le chanteur Emmanuel Djob (révélation «The Voice» 2013),  la chanteuse malgache Myra Maud, la soprano américaine Nicolle Rochelle et le choeur «By The Gospel River».

«BATTLE ROYAL», avec les 32 musiciens du Laurent Mignard Duke Orchestra et du Michel Pastre Big Band pour marquer la rencontre entre Duke Ellington et Count Basie (rencontre qui donnera naissance au légendaire « First Time »), le 22 Mai 2014 à Chatellerault (86) dans le cadre du Festival Jazzellerault et le 30 Mai 2014 à Coutances (50) dans le cadre du Festival Jazz sous les Pommiers.

«ELLINGTON FRENCH TOUCH», une histoire d’amour entre le Duke et la France, un grand spectacle mêlant musique, danse, chansons, vidéo et comédie musicale, le 24 Mai 2014 au Théâtre de Poissy (78) avec le Duke Orchestra et la chanteuse américaine Nicolle Rochelle.

Laurent Mignard fera ce qu’il aime !

LM2Laurent Mignard vient de Bellot, dans la vallée du Petit Morin en Seine et Marne. Vers 10 ans, il découvre la trompette de son père (Serge) dans le grenier de la maison. Serge a joué dans une fanfare et prenait aussi, de temps en temps, l’accordéon. Il est alors à la tête de la cidrerie familiale, une entreprise créée par l’arrière grand-père de Laurent peu avant la Première Guerre mondiale et qui deviendra une filiale de Pernod Ricard au début des années 90.

Inscrit à l’école de musique, Laurent apprend très vite et 3 années plus tard il commence à enseigner le solfège. Avec ses frères (Francis et Jérôme), il joue dans la fanfare du village puis monte un orchestre familial pour animer le repas des anciens ou encore le bal du 14 juillet. L’orchestre s’installe sur le camion de la cidrerie et circule dans les rues de Bellot, une sorte de guinguette ambulante. Laurent aura toujours à l’esprit cette ambiance et la volonté de provoquer un sentiment de plaisir festif chez ceux qui l’écoutent.

Il pense déjà faire de la musique son métier, mais dans la famille, on dit « Passe ton bac d’abord ! » puis « Tu vas quand même aller jusqu’à la maîtrise » …  Il obtiendra sa Maîtrise de Gestion à Dauphine où il découvre… le jazz. Il rejoint alors le Fou Jazz Band qui anime les soirées étudiantes.

Lancé dans la vie active, il intègre une agence de pub et passe ses nuits avec les copains du Fou Jazz Band. Laurent est une sorte d’hyperactif mais au bout de 3 années… il doit choisir. Il sait qu’il n’a pas le niveau pour être musicien professionnel mais il se souvient aussi de ce que lui avait dit Dizzy Gillespie lors d’une rencontre au Méridien : « Si tu veux jouer cette musique, tu n’as qu’une chose à faire : travailler, travailler … et encore travailler … ».

mignard3Dès lors, Laurent Mignard fera ce qu’il aime. Après avoir donné sa démission à l’agence de pub, il suit des cours avec Jean Gobinet, François Théberge, Marc Chalosse, Tito Puentes. Il enchaîne les master-class auprès de David Liebman, Bill Dobbins, David Angel, François Jeanneau …

Laurent travaille la trompette mais aussi le piano, l’improvisation et l’écriture. Il monte également plusieurs orchestres de Jazz : New Fou Jazz Band avec Didier Burgaud, Jack Cadieu, Laurent Bajata, Didier Sarazin, Serge Luc …, Jazz Passeport avec Eric Schultz, Etienne Mialet, Jean Michel Couchet, Nicolas Rageau, Paul Imm, Philippe Soirat, Yves Nahon, Ted Hawke, Bob Di Meo …, Big Band avec les disciples de Roger Guérin, Federico Benedetti, Bertrand Chapelier, Pascal Gaubert, Pascal Camors ….

Au milieu des années 90, il trouve son langage : la tradition côtoie la modernité. En parallèle, il réussit à convaincre les maires de sa région natale à créer le « Festi-Jazz des 2 Morins ». Laurent en assure la direction artistique de 1994 à 2004.

Laurent Mignard réalise « Face à Face », le premier album sous son nom, en 1998. Une œuvre pour le trio jazz qu’il monte avec Olivier Sens et Peter Perfido et le quatuor de violoncelles de Paul Broutin, Chahan Dinanian, Carlos Beyris et Jean Taverne. C’est aussi le début du partenariat avec Juste Une Trace.

La discographie de Laurent Mignard sur Juste Une Trace

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1998 : « Face à Face » – Laurent Mignard jazz trio & quatuor de violoncelles

2002 : « Suites » – Laurent Mignard Jazz Quartet

2004 : « Alter Tropicus » – Laurent Mignard Pocket Quartet
Sélection FIP, disque d’émoi Jazz Magazine

2009 : « Duke Ellington is alive » – Laurent Mignard Duke Orchestra
Grand Prix du Hot Club de France

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2011 : « Good News »  – Laurent Mignard Pocket Quartet

2012 : « Ellington French Touch » – Laurent Mignard Duke Orchestra
Choc JazzMag-Jazzman, Choc Classica, Sélection Le Monde, Must TSF

2012 : « Battle Royal » – Laurent Mignard Duke Orchestra – Michel Pastre Big Band
**** JazzMag-Jazzman, Sélection Le Monde, CD Paris Jazz Club

Sur scène, Laurent Mignard a notamment joué à Jazz à Vienne, Beyrouth (Liban Jazz), Saint Sulpice, Cork (Guiness Jazz Festival), Shanghai Spring Festival, Beijing Opera, Jazz sous les Pommiers, Festival Radio France de Montpellier, L’Européen, Le Palace, L’Alhambra, Bayonne scène nationale, Périgueux scène nationale, Vendôme scène nationale, L’Olympia d’Arcachon, Le Carré Bellefeuille de Boulogne Billancourt, Le Collège des Bernardins, La Fondation Maeght …

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