Sur scène, l’expérience musicale Jay & The Cooks est toujours variée. Le groupe est à géométrie variable. Le répertoire de l’album Dutch Oven, tout comme Jay, est nord-américain, mais embrasse les influences malgaches de Paul Rabary … puis s’imprègnent des cultures de tous les artistes invités ici et là.
À Florence, Jay & The Cooks devient plus «rock» avec l’excellent guitariste Marco Di Maggio. À Paris, selon les occasions, Jay & The Cooks devient plus «afro» avec les percussions de Sunny Rab … et pour les 2 prochains concerts en Italie, Jay & The Cooks sera plus « littéraire » puisque des lectures de/par l’auteur Marco Vichi s’intègre au show …
Jay & The Cooks « live» 22 mars 2014 – Paris (L’Angora) 28 mars 2014 – Arezzo 29 mars 2014 – Casciana Terme 05 avril 2014 – Tours (L’Instant Ciné) 06 avril 2014 – Tours (L’Instant Ciné)
Pour ces concerts, Paul Rabary est toujours avec Jay !
Paul Rabary – Jay & The Cooks
Paul Rabary vient de Madagascar. Il découvre la musique à 7 ans dans sa petite école avant de s’attaquer aux cantiques et aux chants grégoriens avec les jésuites qui l’éduquent. Les mots et les mélodies ne sont plus des énigmes pour lui. Il en joue et devient soliste puis directeur de la chorale. Il se détourne des chants religieux pour interpréter de grands noms de la chanson. Il chante les succès d’Henri Salvador, Georges Brassens, Jacques Brel. Mais pour la musique et le groove, il tombe littéralement à genoux devant Jimi Hendrix et la chaleur d’Otis Redding, d’Aretha Franklin ou encore Ray Charles.
Paul Rabary se met à pincer des cordes et à tordre le manche d’une basse ou d’une guitare. Sa carrière de musicien commence véritablement à partir de 1964. Il joue dans plusieurs groupes malgaches de covers avant de s’installer en France où il accompagne de nombreux artistes : Antoine, les Platters, le Golden Gate Quartet ou les accordéonistes André Verchuren et Aimable.
Paul Rabary fabrique ses propres instruments, joue du kabosy, caresse une Gibson Les Paul, frotte une Fender Precision, glisse sur une Jazz Bass, court sur une Martin 12 cordes et souffle aussi dans un harmonica. En plus d’être un excellent musicien autodidacte, il adore cuisiner. Tout naturellement, il rencontre Jay avec qui il partage ces passions puis enregistre l’album Dutch Oven de Jay & The Cooks.
Dans les années 40, elle a été interprétée par Woody Guthrie qui affichait sur sa guitare le slogan «This Machine Kills Fascists».
Pete Seeger
Pete Seeger, musicien et activiste, aimait aussi la chanter. Petit rappel, alors qu’il était membre des Weavers, Pete Seeger chantait également «Goodnight Irene» de Leadbelly… une chanson que l’on retrouve sur Dutch Oven.
Bill Monroe ou même le jazzman Charlie Haden enregistrent Old Joe Clark, une chanson «rustique» ou très roots et contribuent ainsi à la rendre intemporelle.
Jello Biafra et Mojo Nixon
Au fait, en 1994, d’autres artistes et activistes – Jello Biafra et le provocateur Mojo Nixon – ont fait une adaptation du titre dans «Let’s Go Burn Ole Nashville Down» sur l’album Prairie Home Invasion.
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En 1980, cette chanson s’est hissée dans les charts avec Emmylou Harris. Elle figure sur l’album «Roses in the Snow». Johnny Cash l’a également interprétée sur «American III: Solitary Man», le troisième album la série American Recordings édité en 2000 alors que sa santé commençait nettement à se détériorer. Wayfaring Stranger lui colle merveilleusement à la peau, lui qui traitait souvent de la douleur, de l’affliction morale et de la rédemption. La version de Bill Monroe est tout aussi prenante. Avec plus d’une soixante d’années de carrière, le musicien a grandement contribué à faire connaître le Bluegrass. Il était aussi un précurseur du DIY très en vogue de nos jours (il était lui-même son propre agent).
Mais si vous connaissez cette chanson, c’est peut-être plus probablement grâce aux versions que l’on retrouve dans quelques films à succès.
Jack White (The White Stripes) en a fait une version pour le film «Retour à Cold Mountain» avec Nicole Kidman et Jude Law. Le film réalisé par Anthony Minghella et sorti en 2003 est une adaptation du livre de Charles Frazier. Sept fois nominé aux Oscars et huit fois au Golden Globe, l’histoire met en relief la passion entre deux êtres dans une Amérique déchirée par la Guerre de Secession.
On retrouve une autre version chantée dans «La Conquête de l’Ouest» avec James Stewart, Henri Fonda, Gregory Peck, Richard Widmark, Lee Van Cleef. La fresque historique réalisée par Henry Hathaway, John Ford et George Marshall. Le film est sorti en 1962 et couvre l’histoire du Far West de 1839 à 1889, à travers le destin d’une famille de pionniers, une famille qui se disloque.
Avis partagé : la version de Wayfaring Stranger par JAY and THE COOKS sur l’album «Dutch Oven» pourrait tout à fait figurer dans un film de Quentin Tarantino.
Quetzalcoatl [KTZLKTL] est le nom d’une divinité mexicaine ! Un serpent à plumes vénéré par les Aztèques, les Mayas mais aussi par les Mixtèques et les Toltèques…
Dans le cas présent, il s’agit du groupe indus originaire de la région Drouaise (proche de Dreux). Pas de sacrifices humains mais une musique nerveuse et militante depuis le milieu des années 90.
LA MACHINE existe depuis 2008. Le groupe est constitué à Paris mais, selon nos agents, les membres sont originaires de la Nièvre. Contrairement aux premières informations diffusées, ils ne sont pas de Nevers : ils sont réellement de La Machine.
Leur approche de la musique industrielle leur permet notamment de partager des scènes avec Les Tambours du Bronx, Dagoba ou encore La Souris Déglinguée. Toujours selon nos agents, ils ont aussi joué en ouverture pour The Exploited (difficile de jouer après).
La Machine – photo Julien Sapience
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